31 décembre 2007

Time to run, stupid!

Mon activité blogosphérique a remarquablement diminué ces derniers temps. Elle se résume en quelques notes par mois. Je visite les blogs quotidiennement généralement sans laisser de trace, d’ailleurs beaucoup d’amis bloggueurs devraient être furieux contre moi. Ce n’est pas que je n’aime plus les blogs, au contraire j’adore ça, seulement en cette période de fin d’année je me retrouve terriblement seul et cela pèse vraiment trop pour moi. Evidement, ça ne concerne pas que les blogs; je parle d’un état d’âme, quasiment indescriptible, difficile à vivre avec. Chaque nuit, j’ai du mal à aller rejoindre mon lit. Paradoxalement, je ne suis pas du tout insomniaque, au contraire, je dors parfaitement bien mais la nuit c’est une autre chose. Je reste dans ma chambre généralement à rien faire (si on ne compte pas les interminables allers-retours) et je n’ai aucune envie d’aller dormir, c’est comme si j’attendais quelque chose qui devrait se passer (mais il n’y avait rien, évidement). Je sais que c’est dingue mais chaque nuit j’y crois tellement. Le matin, c’est une autre force qui s’oppose, je ne veux plus quitter le lit. Je parle d’un état d’âme qui s’oppose à mes désirs, parfois à mes besoins, ne laissant ainsi aucune chance de survit. Prisonnier de ses émotions, on perd forcément le contrôle et on s’aperçoit qu’on n’est pas aussi exceptionnel qu’on le croyait. On prend conscience qu’on est rien relativement à ce qu’on voulait être. Aucun don particulier, aucune occupation, aucune motivation, rien de rien. On lutte, on essaie et on espère mais en vain. Finalement, on se rend compte que plus rien ne compte. Après tant de perturbations, on retrouve l’équilibre, on se sent calme comme une belle nuit d’été. Néanmoins, cet équilibre n’est pas le bon; il n’est pas bien ‘centré’. C’est le calme qui précède la phase finale, c’est le calme qui précède l’explosion.

PS Fucking end of the year, I’ll talk about it later... Thanks for the tittle, aymen

21 décembre 2007

My December

this is my december
this is my time of the year
this is my december
this is all so clear

this is my december
this is my snow covered home
this is my december
this is me alone

and i
just wish that i didnt feel
like there was something i missed
and i
take back all the things i said
to make you feel like that
and i
just wish that i didnt feel
like there was something i missed
and i
take back all the things i said to you

and i give it all away
just to have somewhere to go to
give it all away
to have someone to come home to

this is my december
these are my snow covered dreams
this is me pretending
this is all i need

and i
just wish that i didnt feel
like there was something i missed
and i
take back all the things i said
to make you feel like that
and i
just wish that i didnt feel
like there was something i missed
and i
take back all the things i said to you

and i give it all away
just to have somewhere to go to
give it all away
to have someone to come home to

this is my december
this is my time of the year
this is my december
this is all so clear

and i give it all away
just to have somewhere to go to
give it all away
to have someone to come home to

18 décembre 2007

3id mabrouk 3la eness el kol

Dire qu’il ne nous reste de l’islam que les fêtes me fait de la peine. J’ai l’impression que beaucoup célèbre cette occasion simplement parce qu’ils se sont habitués à le faire, en dehors du fait religieux qu’elle porte. Les fêtes religieuses ne sont pas de simples traditions, elles sont là pour éveiller notre foi et pour notre appartenance à l’islam.

Anyway, nchala 3idna el kol mabrouk w nchala 3lelechna el kol tatla3 behia esna

17 décembre 2007

Elle était sur le point de le faire

Elle était sur le point de donner un sens à ma vie, elle aurait peut être pu me rendre ma confiance en moi. Ça fait plus de deux mois qu’on ne sait pas vu maintenant, la dernière fois elle m’avait dis qu’elle ne partageait pas ce que je ressentais pour elle et qu’elle n’arriverait jamais à le faire. Aucune nouvelle depuis deux mois. Elle ne me répond plus au téléphone, elle a effacé son compte face book et maintenant elle efface son blog. Il ne me reste plus que quelques photos d’elle, des souvenirs et des larmes. Je ne sais pas si un jour j’aurais le courage d’effacer ses photos mais les souvenirs seront toujours là, malgré moi. Tout est passé si vite. Si je pouvais tendre ma main pour caresser son visage je me rendrais compte qu’elle n’est plus là et qu’elle ne le sera jamais. Elle était sur le point d’illuminer mes sombres nuits mais elle m’a éliminé,… je comprends qu’elle ne veut pas d’un dépressif, les gens ont assez de problèmes pour s’en occuper des miens. Je passais toute la journée à penser à elle et à construire un rêve qui ne se réalisera jamais, c’était très fort. Elle représentait tout pour moi, elle était mon unique motivation. Elle était sur le point d’effacer toutes mes peines et mes douleurs pour enfin écrire une nouvelle page joyeuse dans un livre pourri de souffrance, mais elle ne l’a pas fait. Je me dis alors que c’est ainsi que mon livre devrait être écrit, ce qui me fait sentir une partie de moi disparaître à jamais. Elle n’est plus là et jamais les choses ne seront comme avant, je ne suis plus là non plus. Elle était sur le point de me sauver de mes larmes qui ne cessent de couler depuis très longtemps. En fait, c’est de ma faute en quelques sortes. Je crois que je devrais enfin prendre les choses en main pour trouver de vrais repères. Je suis en train de tout gâcher.

02 décembre 2007

Doc, save me...

I have been in Tunis for almost two weeks and I couldn’t have enough time to write down some thoughts on my blog. Actually, I haven’t anything special to speak about, just that same old story, and I’m fed up with it. In two weeks, one could do so much things but I didn’t. I just made a new friend (C…) really different from the others. I think we’ve got enough similarities and that should be why we became good friends in such a short period. He’s different because he’s depressive, as I am. We spent a lot of time speaking about ourselves and our unrests; it was so hard for me because I couldn’t express myself easily. We were missing school since we didn’t sleep at night and I’m crazy about that. We tried to help each other but there was nothing to do. Honestly, C… tried more then I did because he’s good at hiding his unrest and I think he is feeling calm this period; I just wanna thank him for being so kind with me. Now, I realize that it is nonsense to expect someone to save me from what I’m, or someone to bring sense to my life. In other words, neither friendship nor love could make me feel better. A friend can’t bring a goal in my life; he can’t make me feel comfort with myself. I used to think that a girl could do it by giving me all the love that I need but it was wrong. I can’t play seduction games anymore and that’s why I lost my butterfly. People can’t do anything for me, and even if they did, it won’t be so helpful. I am sure now that the revival is gonna happen because I’m going to bring the solution from the inside. Last time, I spoke about the therapy and today I told my mother about it. She was crying her depressive son but she seemed to understand the situation. Thanks mom. I really need your support. Now what? I got to call the surgery to fix a date for my consultation… I hope I’ll do it for soon. I am afraid.

PS thanks for C… again

24 novembre 2007

Centième note

Cent… comme sang ou sons. Il a fallu tout ce temps pour que je m’en aperçoive le sang autour de moi tout au long de ce chemin. Tout ce temps pour écouter ses sons sans pour autant les prendre en considération. Cent notes… cent tentatives… cent cris… cent questions… quelques joies incapables de satisfaire des insuffisances non définies à l’avance. Tout ce temps mais sans que je m’adapte à la personne que je suis entrain de devenir… Un long soupir et je tourne la page suivante… Encore du sang, des larmes brûlantes et beaucoup d’obscurité. Je reviens quelques pages en arrière… Des mensonges, de faux espoirs et une utopie que je rêvais de réaliser. Tout ce temps perdu à attendre et espérer… Je tourne encore les pages, peut être une centaine… Je ne me souviens plus vraiment ou j’en étais, encore moins ou j’en suis ni où je devrais être… J’ai envie de brûler toutes les pages… Visiblement ça ne servira à rien… Cent notes écrites avec mon propre sang sur une muraille noire, ça part dans tous les sens, sauf dans le bon, sans avoir aucun sens. Maintenant je me rends compte que ce n’était pas une muraille mais une cellule suffisamment espacée pour contenir de l’énergie noire et toutes mes faiblesses. Allongé sur le sol de ma cellule, sans aucun signe de vie depuis longtemps, je reprends un bout de force physique pour ramper. Il a fallu tout ce temps pour prendre une telle décision, pour arrêter tout espoir parce que finalement la source n’était pas si loin. Je rampe jusqu'à atteindre l’extrémité réfléchissante de la cellule. J’ai cru voir des reflets qui devraient être les miens… Il ne s’agissait plus de moi désormais mais de mois. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Je saigne tout mon sang. Je me demande comment je me trouve encore en vie sans aucun but, sans motivation, sans espoir, sans confiance… Ce n’est pas ce que j’étais avant, je n’aurais jamais imaginé me trouver dans un état pareil. La question qui devrait se poser maintenant c’est est-ce que je veux réellement m’en sortir ? Avant, j’aimais ça… C’était le luxe d’avoir du chagrin. A présent, mon existence est ruinée, je ne me supporte plus ainsi. C’est vrai que j’en ai peur de m’en sortir, mais j’ai tellement envie de le faire…, c’est la seule alternative. I need a so long fucking therapy…

15 novembre 2007

Questions...

On se pose tant de questions qui resteront sans réponses. C’est plutôt évident et logique que les problèmes soient beaucoup plus nombreux que les solutions. Mais ce qui pourrait être alarmant, c’est quand on se trouve incapable de répondre à certaines questions que je qualifierai de superficielles, du genre ‘Je préfère telle ou telle chose ?’, ‘Je veux faire telle chose ou pas ?’ ou encore qu’on se demande sur ce qu’on aime faire. Généralement, ces questions ne se posent pas, seulement quand elles surgissent elles font forcément peur. On a toujours eu peur de perdre ses repères et d’être confus. Une fois, on m’avait dis que je ne devrai pas m’arrêter de me poser des questions. Evidemment, c’est une bonne pratique puisqu’on cherchera à satisfaire sa curiosité et qu’on sera amené à produire des réflexions parfois surprenantes. Malheureusement, c’est un processus imparfait étant donné que nous sommes rien que des simples mortels bourrés de complexes et contrôlés par nos angoisses. Cela dit, les questions ne seront pas toutes les bienvenues. Je site ‘Pourquoi je me reconnais plus dans la glace ?’, ‘Pourquoi je me suis levé ce matin, et pourquoi je devrais le faire demain ?’, ‘Pourquoi rêvons nous ?’, ‘Pourquoi cherchons nous le bonheur, et c’est quoi déjà ?’, ‘Pourquoi veut-on réussir ?’… C’est une sorte de spirale infiniment grande qui ne cesse de se développer…; plus on avance plus on s’éloigne du centre. Il va falloir compresser la foutue spirale… Est-ce que je pourrais le faire tout seul ?

10 novembre 2007

Je me demande si un jour...

Je me demande si un jour le temps passerait moins rapidement, s’il s’arrêterait pendant une période infime, le temps que je prenne un air profond. Je ne peux plus respirer. Tic…Tac…Tic… Tac… C’est ce que ma montre m’a répondu… Même si elle avait gardait le silence, le temps passera ignorant mes supplications. Les sons de la montre me font très mal, me stress, mais je n’arrive pas encore à trouver la réponse. Bonne où mauvaise soit-elle, je n’arrive pas à la trouver. Avant, j’inventais des réponses, des mensonges quoi. Une sorte de consolation. Evidemment, lorsqu’on est jeune, on ne pense pas vraiment à ce genre de mensonge. On joue le jeu et on y croit tout simplement, puisque ça nous aide. Plus le temps passe plus je me rend compte de la gravité des faits… Vivre dans des illusions et des rêves, ce que les gens appellent ‘vivre dans son propre monde’, mais peut-on vraiment appeler ça vivre? Comme je me sens extrêmement concerné par le sujet, je dis tout de suite et sans réfléchir, Non. On devient emprisonner par ses illusions, les rêves se transforment en cauchemars, on croit qu’on perds ses repères mais la vérité c’est qu’on avait jamais eu de repères parce qu’on croyait que la vie est belle et que c’était la vérité absolue. Ce genre de contrevérité m’étouffe, elle ne me donne aucune envie pour continuer, ça m’empêche de vivre. Cela pourrait éventuellement expliquer mon état, mes peines, mes douleurs, mes insuffisances et mon insouciance. Maintenant, je me dis que le temps ne s’arrêtera jamais et qu’il ne pourra jamais m’apporter de réponses, il n’y est pour rien. Je réalise maintenant à quel point la situation s’aggrave. Je me demande alors si un jour je pourrais relever ma tête… si je pourrais me débarrasser de toutes ces douleurs, cette boule de peines qui défend sa place aux endroits les plus profonds de moi… si jamais j’arriverais à ouvrir mes paupières… si j’arriverais à me reconnaître devant la glace… Je me demande si un jour je pourrais voir de nouveau à travers ma fenêtre… Je suis toujours là, les réponses… Je n’en sais rien.

Je crois que je devrais revenir vers l’islam…

04 novembre 2007

Le vent du nord

Le vent du nord soufflera sur la ville traversant toutes les ruelles, frappera à toutes les portes mais elles seront toutes fermées à clé. Le vent du nord atteint ma porte et m’emporte vers de nouvelles portes encore closes… On a traversé tant de paysages qui défilaient devant mes yeux à la vitesse de la lumière, j’essayais désespérément de ralentir mais j’étais obligé de me cadencer à son rythme. Un rythme imposé… Un orage éclate, puis un autre et un autre… Le vent souffle encore…, moi, je n’avais plus de souffle… Il pleuvait des cordes, l’eau coulait partout et lavait les papiers que je grattais pendant les interminables nuits faisant disparaître mes écrits. De toutes les manières, on ne se souviendra pas du vent, ni de la ville, ni des portes. L’orage, oui peut être, on s’en souviendrait. Mes écrits avaient disparus avec la pluie mais ils sont toujours là, gravés profondément à l’intérieur de moi. Les mots se sont alliés avec les maux, la pluie avec les larmes,… mais personne ne s’en souviendra sauf moi et quelques poussières…

30 octobre 2007

STOP THAT TRAIN, I WANNA LEAVE!

Je prends une grande bouffée d’air jusqu’à ce que mes poumons s’éclateront, je plonge mon regard vers les océans ensuite vers l’horizon pour trouver au moins une seule bonne raison, je cris mes mélodies assourdissantes brisant ainsi le silence qui a duré suffisamment longtemps, je réalise, non pas mon rêve, mais mon cauchemar d’enfant, je ferme mes yeux aveuglés par mes larmes et toutes mes afflictions, je me rend compte de ma réalité et de mon état présent, j’en ai marre de vos paroles hypocrites du genre ‘il y a forcément une solution’, c’est vrai qu’on peut cacher la vérité mais elle finira par s’imposer, c’est quelque chose de consistant, je continue à me torturer simplement parce que c’est tous ce que je peux faire en ce moment, j’enfonce les poignards et les couteaux que je m’avais plantés moi-même dans mon corps en si peu de temps, je saigne encore, je découpe cruellement les parties de mon cadavre séché de la toute dernière goutte de sang, mes démons fêtent leur victoire et passeront petit à petit vers leur prochain cantonnement… STOP THAT TRAIN, I AM LEAVING

22 octobre 2007

Happy birthday Mom

Les années passent si rapidement que je ne me rendais pas compte combien tu es très importante pour moi et pour le reste de la famille. C'est vrai que tu ne me sentais pas aussi prés de toi que tu le voulais, que tu l'avais toujours espéré. C'est vrai que je gardais, en quelque sorte, mes distances. Je veux profiter de ce jour pour te dire à quel point on t'aime ici et à quel point je t'aime en particulier. Bon anniversaire maman!

20 octobre 2007

Notre forteresse

J’ai épuisé tous mes mots… j’ai utilisé toutes mes expressions… tout mon vocabulaire. Je ne peux plus écrire une seule ligne sans m’arrêter, parfois trop longtemps. Je m’arrête pour choisir minutieusement le mot qu’il faut. Les mots ne me suffisent plus… Toutes les lettres me paraissent identiques, je ne distingue plus leurs formes ni leurs sens. Toutes phrases que j’écris est dénuées de valeur. Pourquoi j’écris alors ? Et qu’est ce que je fais ici ? Peut être pour que ce blog reste en vie, j’en sais rien… Pour crier, pour pleurer toutes les larmes de mon corps, pour aimer, pour être aimer, pour comprendre ce qui se passe aussi… Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je crois que je suis atteint par la fièvre. La plus dangereuse d’entre elle. En si peu de temps elle m’avait pris très loin, tellement loin que je ne me rappel plus ou j’étais ni comment je suis arrivé ici. Evidement dans mon voyage, je n’étais pas tout seul, j’étais accompagné. On marchait doucement l’un à coté de l’autre vers une destination qui devrait être la notre, je pouvais vaguement la voir de loin. C’est une sorte de forteresse qui n’a jamais existé en fait mais j’étais fort convaincu qu’elle se tenait là et qu’on pouvait la voir. La forteresse est encore loin c’est vrai, il se trouve qu’on ait des doutes, on se pose des questions, on se demande si elle sera là à notre arrivée. On ne voulait pas faire tout ce chemin pour rien, chacun de nous rassurera l’autre pendant ses moments de doutes en gardant l’espoir que notre jour arrivera et qu’on pourra vivre l’un pour l’autre, rien que ça. Je bâtirai la forteresse de mes propres mains si jamais elle ne serait pas là. Je t’aime…

12 octobre 2007

عيدكم مبروك

انشاء الله كل عام و انتوما حيين بخير, و انشاء الله كل عام و احنا نبلوقيو, و انشاء الله كل نهار و احنا معيدين.

و اكاهو, عيدكم مبروك

11 octobre 2007

Past Vs Present

Hier, en rentrant chez moi après les cours, j’ai vu de loin une voiture blanche qui m’était familière. Je regardais plus attentivement à l’intérieur du véhicule. C’était mon prof de français il y a plus de sept ans maintenant. J’étais très content parce que je l’aimais bien (et lui aussi d’ailleurs), je me précipitai vers sa voiture. J’avais remarqué que Monsieur avait vieillit mais il avait encore son sourire et son regard bleu. On se parlait pendant un bout de temps, la discussion n’était pas comme les interminables discussions qu’on avait eues avant, certes, mais ça m’a fait tellement de bien. Et puis quand je lui disais au revoir j’avais une grande quantité de souvenirs qui me venaient à l’esprit. L’année de la 9ième année de base, l’épreuve de français, le 19,5, le lycée pilote, le bac,… ça me faisait chaud au coeur. Je ne suis plus cet adorable garçon, que j’étais, plein d’enthousiasme et d’espoir.
Bon, c’est vrai que cette période je me sens beaucoup mieux mais mon humeur est en fluctuation permanente et moi, je ne supporte plus ce bordel. Même quand je suis en cours, je n’ai plus la motivation que j’avais… Je me lève le matin pour aller en fac parce que je dois le faire et non parce que j’ai envie de le faire, et croyez moi, ça me tue… Comment pourrais je retrouver ma foutue de motivation, sinon je ne pourrais pas terminer ce que j’ai commencé il y a des années. Il faut que je me ressaisisse, il faut que je reste concentré sur mon but final. Merde, je me mets trop de pression… I need to calm down

03 octobre 2007

Le rendez-vous, enfin!

Je lui ai envoyé un message pour lui dire que je devrais sortir dans 15 minutes et je me préparais. Elle répondit ‘Ok’. J’étais nerveux. Je faisais des allers-retours dans le couloir de la maison. A 20h45, heure précise, je partais chercher un taxi. J’échangeais quelques banalités avec le chauffeur durant le parcours, je ne me souviens pas vraiment de quoi il me parlait parce que j’étais ailleurs. Je ne pensais qu’à une seule chose. Quelques minutes plus tard, je me trouvais à notre point de rencontre. J’allumai une cigarette… Elle me rejoint au bout de cinq minutes, je crois. On s’échangeait de tendres regards pour découvrir ce qui se cachait derrière nos écrans depuis plusieurs nuits. Et puis nous prenions place (plus ou moins confortable). On discutait et on rigolait assez fort comme d’habitude mais cette fois c’était du réel… C’est tellement magique !
Une magnifique brise me caressait tendrement les joues qui brûlaient. C’est la première fois qu’une brise me faisait un effet pareil. Et je continuais de la dévorer du regard… Au beau milieu de la soirée, je pris sa main pour voir la bague qu’elle portait à sa main gauche. (On m’avait dit que c’est la qu’on porte l’alliance) Je pris la bague dans mes doigts pour mieux la voir et puis je lui demandai si je pouvais la remettre à sa place. Au début, elle refusa mais elle me laissa faire après… Je peux même encore sentir la douceur de sa main sur la mienne, c’était vraiment très romantique et c’était, sans doute, le plus beau moment de la soirée… probablement, l’un de mes meilleurs moments de ma vie. Je voulais l’embrasser après avoir remis la bague mais je ne pouvais pas. A 1h00 du matin, nous faisions une petite marche pour continuer la discussion et puis vers 2h00 on est allé chercher des taxis. Elle voulait qu’on trouve deux taxis en même temps mais j’insistais pour qu’elle parte avant moi (c’était tard) et elle accepta finalement. On se disait au revoir, je voulais tellement la serrer contre moi mais je ne pouvais pas aussi. Je me contentais alors de l’embrasser fort sur la joue. Elle m’appel après pour voir si je me trouvais en route pour rentrer chez moi (J’ai tellement adoré son coup de téléphone) et je lui disais que je l’informerai quand j’y serais. Et puis on s’échangeais des messages, le temps de rejoindre la maison. Je rentrais chez mon ami en étant l’homme le plus heureux du monde entier… C’est merveilleux !

02 octobre 2007

Ready for tomorrow

Cela fait plusieurs nuits que je ne dormais plus, tellement on passe du temps ensemble. Même quand je rentre chez moi après les cours, je ne dors pas. Tous ce que je fais en ce moment, c’est discuter avec elle. Quand je ne la trouvais pas après les cours, j’en profitais (si vous permettez) pour prendre à peine quelques minutes de sommeil. Jamais je n’aurai cru que je serai si attaché à elle en si peu de temps, jamais je n’aurai cru que je me donnerai à font avec une fille que je n’ai même pas encore rencontré, jamais je n’aurai cru que je penserai à elle tous ce temps. En fait, j’ignorai que des discussions pareilles existaient !
Je sais que rien n’est garanti, je le sais très bien, et que tous cela pourrait être qu’une simple illusion, une irréalité crée par ce petit enfant blessé pour se consoler, pour essuyer ses larmes et pour continuer à vivre. Toutes ces discussions et ces secrets échangés pourraient rester seulement du virtuelle mais je sais très bien que les secrets, comme les baisers, ça crée des liens. Je veux le vivre pleinement ce beau rêve, je ne veux gâcher aucune seconde espérant qu’il deviendra réalité et c’est pourquoi je me donne.
Après toutes ces nuits, je me sens très fatigué maintenant. Je dois aller me reposer en ce moment pour que je sois prés demain pour notre rendez-vous tant attendu…

26 septembre 2007

Dommage

On s’est donné rendez-vous, tout semblait être réglé. Nous avions fixé l’heure et l’endroit deux nuits avant. J’attendais impatiemment, j’étais motivé comme un bon garçon surexcité qui allait rejoindre son école. Je devais passer la nuit à Tunis. J’appelle Ilyes. Il accepte. C’était quelques minutes avant que je rejoigne sa maison que le temps changea. Un orage éclata. Je ne pensais pas que cela va se poursuivre toute la nuit, mais bon. La maison de Ilyes était archi comble, il y avait trop de monde. Après le souper, il pleuvait encore et encore. J’étais fou de rage, je ne voulais pas rater le rendez-vous et en plus il y avait trop de bruit qui m’empêchait de rester concentré sur les sons que faisait la tempête. Finalement, j’arrivais difficilement à les assimiler au bruit de fond. Vers 23h je crois, tout était fini. La tempête, le mauvais temps, la pluie et le rendez-vous, bien sur. Foutue de malchance.

23 septembre 2007

Soirées virtuelles inoubliables

Cela fait onze nuits que je l’ai connu. Elle passait assez souvent par mon blog, elle appréciait mes écrits, je crois. Moi aussi j’aimais ce qu’elle écrivait et c’est pourquoi d’ailleurs je l’ai contacté pour discuter, non seulement du blog bien sur. Chaque nuit, on se donne rendez-vous vers 23h30, elle a toujours été là sauf quelques nuits ou elle ne pouvait pas. Nous passons des heures et des heures à bavarder, généralement on termine à 4h du matin, hier c’était à 5h. Chaque fin de soirée j’attendais impatiemment sa prochaine connexion, notre prochaine discussion… Quand je lui avais dis, elle disait que c’est à cause de la solitude que je vis en ce moment, et ce n’est pas la seule raison, je crois. On a passé beaucoup de temps à rigoler, à parler de ce qu’on aime faire, à discuter de tout sauf de rien, je lui ai parlé de ma vie, elle m’a parlé de la sienne. Avec elle, c’était la première fois que je parle de certains détails que je n’ose pas en parler avec des gens que je connais depuis longtemps et ce qui me fait le plus plaisir c’est qu’elle me comprend. Elle avait tous compris dés le début, elle m’étonne des fois avec des paroles d’une vielle amie. Moi, je ne la comprends pas autant qu’elle le fait, mais j’arrive à le faire quand même. Je croyais qu’elle prenait nos conversations pour un passe temps comme une autre. Evidement, j’ai du penser à ça à cause d’un background de manque de confiance et elle le savait, parce que quand on en a parlé j’avais sentis que c’était spécial aussi bien pour moi que pour elle.
Une fois elle m’avait demandé ce que j’attendais d’elle. J’ai répondu franchement, et je disais que je voulais la rencontrer pour éventuellement voir si jamais on pouvait tenter un truc ensemble. J’étais presque sûr qu’elle le savait, parce qu’elle est très intelligente (peut être que je joue carte sur table aussi, j’en sais rien). Quand je lui avait parler de ce post elle était très contente, je voudrai donc en profiter de l’occasion pour lui dire : C’est vrai qu’on se connaît à peine mais je me sent très proche de toi et que je vois en toi l’agréable lueur de l’espoir. Tu pourras me dire que c’est bien trop tôt pour le dire,… tu as probablement raison, j’avais juste envie de le dire.

16 septembre 2007

Back to future

Une nouvelle expérience commence demain après mon échec dans l’ancienne faculté. Je ne sais pas si on pourrait l’appelait échec mais mes parents disent ainsi puisque je n’ai pas pu arracher ma place en cycle ingénieur. Anyway, demain je commencerai avec la nouvelle faculté privée pour continuer ce que j’ai déjà commencé. Généralement dans des cas pareil je me sens stressé voire nerveux, je le suis cette fois aussi seulement je pense que ce n’est pas comme avant : Je n’ai plus cette rage de vaincre ni cette détermination que j’avais avant, c’est comme si je baisse les bras, et ça me fait de la peine. Il va falloir que je baisse la pression que je me mets pour me sentir mieux, sinon tout sera comme ces deux dernières années où tout va tellement vite, et au sens contraire en plus.
L’autre soir, j’ai vu défilé devant mes yeux quelques images du passé, le mien et celui de certains de mes amis quand on était au lycée pilote, même avant. Je me rappelais comment on était si brillant et qu’on était les chouchous des profs. Bien sur, je ne pouvais pas retenir mon sourire pendant une bonne minute, parce que c’était du vrai, mais juste après je fais face à la réalité, la réalité que maintenant on n’a plus rien de brillant. Moi, comme je disais à l’instant je suis en privée maintenant, il y a beaucoup d’autre avec moi, Mehdi ne sait même pas dans quelle fac il sera cette année, il était exclu de notre ancienne fac et il avait déjà perdu un an en prépa. Bien sur, je ne pouvais pas retenir mes larmes parce que je ne comprends pas ce qui nous est arrivé. Quelle que soit la cause de notre chute nous allons montrer à tout le monde qu’on est toujours là et qu’on méritera notre place indépendamment du foutu système et de toutes sortes d’empêchements.

ONE FOR ALL, ALL FOR ONE, WE’RE STRONG, WE’RE ONE

Ps : Je voudrais remercier ‘My Butterfly’ qui me dit toujours que ça ne sert à rien de tourner en rond. Merci pour les discussions vraiment adorable, tu es adorable.

14 septembre 2007

Keys

Faith, Trust and Love

all we need to feel good and to make the world better.

10 septembre 2007

Unnamed Melody

Sécher les larmes chaudes qui brûlent mes joues et qui gèlent toutes mes envies et mes désirs

Parler silencieusement pour tous dire, ou bien se taire pour ne pas se contredire

Pas d’importance tant qu’ils s’en foutent, ils nous bloquent au lieu de nous soutenir

On nous dis toujours d’aller de l’avant pour oublier tous ces mots et ces maux qui font frémir

Ignorant se qui se passe à l’intérieur, plusieurs personnalités essaient désespérément de se tenir

Je ne sais pas si un jour on arrivera à tout arranger, on a eu vraiment assez de mal se sentir

Assez de toutes ces perturbations d’humeur, on ne peux même plus,…je ne sais plus quoi dire

On se laisse tout de même cet espoir infime en l’existence d’un miracle, probablement un élixir

Par ce que sans cet espoir on souffre et on fait (ou on faisait, fera) souffrir

08 septembre 2007

Break the silence (Bis)

Quand je me suis levé aujourd’hui, à 19h30, ma mère était si furieuse contre moi, elle n’arrêtait pas de me crier dessus, elle disait exactement tous ce que je ne désire pas écouter quand je me sens mal. Je prenais mon déjeuner, elle criait encore. Une fois que j’ai terminé mon repas, je débarrassais mon assiette, elle criait encore. Je n’ai pas pu m’empêcher à briser l’assiette contre le lavabo. Mon père était là aussi. C’était comme un message pour eux, un message qu’ils n’auront malheureusement jamais. Jamais ils ne comprendront ce qui se passe à leur foutu fils parce que je les aimes trop. Je les aime à un point que je ne pourrais pas leur expliquer mes détresses, ça leur fera beaucoup de peine, et en plus je n’ai pas j’habitude de communiquer avec eux. Comment je pourrais leur traduire les migraines terribles que j’ai. Comment je pourrais dire que je n’ai aucune raison pour vivre, que tout me déplait, que je ne veux plus rien faire. Comment je pourrais leur expliquer que j’ai besoin d’une très longue putain de thérapie… Comment pourrais je expliquer quelque chose que j’ignore, que je n’ai jamais pu la déchiffrer. Tous ce que je fais maintenant c’est blogguer et puis sortir la nuit avec la bande d’enfoirés que je fréquente pour les entendre parler des sujets qui ne valent généralement rien (parfois, fama de bonnes discussions), je rentre chez moi vers minuit, je blog encore et c’est tout. Plus d’occupations, plus de motivation pour quoi ce soit, je déteste ce que j’aimais faire. Même mes écrits je ne les ressens plus quand je les relis. Je ressens seulement mon cœur battre tellement fort que je ne le supporte plus, alimentant ainsi mes veines et mes vaisseaux sanguins par toutes ces peines et douleurs, puis circulent vers tout mon corps provocant par la suite toute cette souffrance qui ne s’arrêtera peut être jamais. Je veux que tous s’arrêtent.

07 septembre 2007

Break The silence

J’avais eu peur de perdre l’unique pseudo activité qui me motive en ce moment, j’avais peur de perdre l’envie de m’exprimer dans ces lignes qui restent toujours insignifiantes. Je ne sais même plus si je l’ai perdue ou pas, tous ce que je fais maintenant c’est laisser mes doigts aller sur le clavier, tapant toujours ces lignes maudites qui ne serrent à pas grand-chose appart un moment négligeable d’activité qui ne serre à rien en fin de compte… Je crois que ça permet au moins de briser le silence qui a duré longtemps ou peut être qu’il n’a jamais duré, je ne me souviens plus. Tout ce que je sais c’est que…, je voulais dire, je crois savoir… ou peut être bien, il me semble que la seule chose que je crois savoir est que je ne supporte plus cette douleur, nul ne sera comprendre ce bordel… Je n’arrive plus à…, je ne sais pas si… MERDE, comment pourrais je l’expliquer, mes idées ne sont pas claire et j’en ai maaaaaaaaaaaaaaaarre de ça, je n’arrive plus à faire n’importe quelle réflexion aussi infime soit elle, je ne fais même plus confiance à ma mémoire,… et tout le monde s’en moque y compris mes amis et ma famille, tout le monde me raconte les même conneries ‘Tu vas bien Amin, tu te crée des idées’, ‘Tu es encore jeune, tu as toute la vie devant toi’,’ou bien du genre ‘3ich 7yetek’ (akther wa7da nakrahaaaaaaaaaaaaaaa, ya rabi) et plein d’autres conneries qu’on raconte qui demeurent aussi stupides qu’inutiles.

Maintenant quand je pense à toutes ces années passées à me battre et à me mentir, je me dis que je suis un survivant et que je suis content de ce que j’avais réalisé (meeeeeerde, je continus à me mentir…, je sais que je ne vais pas arrêter, c’est pareil avec le tabac, bordel) mais enfin, je m’aperçoit que j’ai tous bousillé, mes rêves sont détruits (d’ailleurs, je ne sais pas ce que je fous encore sans au moins un but), mes parent disent que je serai dans la faculté mte3 el mtardin (je suis pas viré rahou, j’ai pas pu terminer le cycle ingénieur dans l’ancienne fac, je me contente de mon DUT, ti anyway…). Qu’est ce que je disais,… ah oui, medemni metdhaker, fama barcha 3bed rabi yahdihom me disent que l’état elli ena fih tawa est dut 3la 7keyet el ingéniorat,… mais non bordel… la7keya 3and.ha des sièèèèèèèècles.

Je pourrais avoir l’air d’un dépressif (peut être que je le suis) mais je ne pense pas que je suis un suicidaire, et c’est pour une raison simple,… j’ai un sentiment qui me dis que je m’approche de la fin d’une histoire pour en commencer une nouvelle, en d’autres termes, je m’approche d’une renaissance, une renaissance qui sera très violente (pfffffffffff, je me mens encore, euhhh !).

19 août 2007

Un an aprés...

Jour après jour.. 365 jours ont fait le tour. Nous sommes encore et toujours là pour fêter ce jour. Le 19 août 2006 une bougie s’est éteint à jamais, une partie de moi s’est envolée vers les terres les plus éloignées sans laisser aucun espoir, le jour où je ne supportais plus les douleurs, l’insuffisance et le vide qui remplissaient mon âme. Wounded_Spirit est née en ce jour, il a crée My shelter when I have crazy thoughts pour montrer à son homologue (moi-même, enfin de compte) qu’il n’est pas mort et qu’il est encore capable de briller dans l’obscurité qui l’entourrait malgré tout ce qui s’est passé.

Avant de créer ce blog, j’avais l’habitude d’écrire. J’ai des manuscrits qui datent de l’année 2001, je faisais ça pour laisser une trace, pour créer des souvenirs. J’avais pensé que ça me ferait du bien de les lire plus tard et j’avais raison. Jusqu'à ce jour, je conserve mes manuscrits et je relis quelques extraits quand j’en ai envie, ça fait vraiment du bien. Le 19 août dernier mes écrits ne me suffisaient plus, je voulais les partager, je voulais publier mon expérience personnelle tout en restant anonyme. Je ne voulais pas que mon entourage lit mes délires. Par la suite aucune sorte de référencement n’a été fait. Je savais que peut de gens pourraient y accéder puisqu’il n’est inscrit nulle part. Six mois passent sans aucune nouvelle mise à part deux ou trois commentaires, le trafic ne dépassait pas les cinq visiteurs par semaine. Ensuite, il y avait eu quelques encouragements pour ce que j’écrivais, certains bloggeurs m’ont convaincu de faire de la publicité. Moi, j’étais partant puisque il y en a des gens qui aiment ce que je faisais, et depuis ce temps je n’arrête pas d’inscrire le blog dans toutes sortes d’annuaires et de moteurs de recherche (je crois que j’ai fait un peu trop). Aujourd’hui, la situation est beaucoup mieux, je n’ai pas encore atteint les 100 visites par jours certes, mais je crois que j’ai quelques lecteurs fidèles et j’espère ne pas les décevoir.

Grâce à ce blog j’ai pu évacué une forte énergie, des émotions intenses. Il a vraiment été mon refus quand je me sentais mal, quand j’avais besoin de parler, il m’a écouté sans se plaindre, il m’a aidé pour me sentir mieux. Que nous sommes encore là et que le blog est toujours en activité c’est juste parce qu’on n’a pas abandonné et parce que j’ai envie d’écrire moi-même la suite de mon histoire. Dorénavant il sera difficile de me faire taire. Le blog sera toujours avec moi.

Le blog en quelques chiffres (depuis le 1 avril 2006):

1653 visites

513 visiteurs uniques (provenant de 33 pays)

2591 pages vues

Temps passé sur le site : 00 :12 :09

82 posts

Les mots clé les plus fous : (ça me fait rigoler)

‘Discute avec lui’

‘I can’t see your face’

‘Revoir mon ex’

‘Une frontière étroite entre souffrance et espérance’

L’équilibre spirituel

Tu m as jamais aimer tu m a soutenu

Référencement gratuit

Thoughts blog

مبادئ و أخلاق

C’est quoi un shelter

Psynaj, référencement

علاش

A l’occasion de ce premier anniversaire, je change le template du blog, i hope you’ll like it

06 août 2007

Back from sousse

Une semaine sans toucher à un ordinateur ou presque, une semaine sans Internet ni blog ni rien se rapportant à la vie virtuelle que je menais. Une semaine passée à Sousse chez ma tante, là ou j’ai pu retrouver mes cousins histoire de défouler un peu et évacuer tant de stress. La semaine s’est achevée assez vite, on dit que c’est toujours le cas quand il s’agit de bons moments… On allait à la plage jouer du volley-ball, du foot, une petite baignade et on rentrait vers le crépuscule. La nuit, on sortait mon cousin et moi en voiture faire un tour et on finissait par un petit café. J’avoue qu’un soir j’ai commis une erreur en prenant un peu d’alcool… Je ne comprend pas pourquoi je l’ai fait, mais bon, je ne le ferais plus j’espère. La semaine était bien, ça c’est sur, avec des fous rires, avec pleins de conneries et de trucs stupides seulement je ne ressentais pas ce que je sentais avant… Je ne prenais plus ce grand plaisir du petit enfant, c’est comme si j’étais coincé par un sentiment que je ne pourrais jamais décrire (je ne sais même pas si c’est un sentiment joyeux ou triste), tout ce que je sais c’est que je me sentais vachement bien dans les grands espaces hors de la maison, hors de la ville (dans la plage par exemple) ça remplissait parfaitement le vide en moi… C’est marrant en fait, un vide remplis par du vide. Pendant cette semaine à Sousse, j’ai rencontré Venus. Une bloggeuse que je respecte beaucoup et une personne particulièrement formidable. Je n’ai pas l’habitude de jeter les fleures (comme elle disait) mais lorsque je lui confiais mes maux elle m’a écouté, oui elle m’a écouté comme personne ne l’a jamais fait avant. En fait, la discussion, qui durait plus de trois heurs était tout simplement inoubliable pour moi et ceci pour deux raisons. La première est qu’on a tellement bavardé spontanément, on abordait un peu tous les sujets. Elle a joué le rôle du psy, j’ai beaucoup adoré. La deuxième est comme je disais qu’elle m’avait écouté et que je voyais qu’elle comprenait ce que j’avais dis, elle a même compris mes silences. A la fin de la soirée, je n’ai pas pu lui dire que j’avais envie de pleurer (pour une raison que j’ignore). Elle m’a conseillé d’y croire toujours et surtout de ne jamais arrêter de me poser des questions. C’est rassurant ce qu’elle me disait mais je ne sais pas si elle a raison. Anyway, les amis comme Venus j’en ai vraiment besoin.

Résumé de la semaine : un bon moment, je prend conscience que je change (vers le bien j’espère), je réalise que je n’ai pas encore joué ma carte finale, la carte gagnante…

28 juillet 2007

Never Stop

Cinq heures et demi du matin, je ne dors pas encore… Je ne pense pas que je vais dormir parce que j’en ai pas envie, ce que j’en ai vraiment envie maintenant c’est garder mon attitude actuelle. Je me sens calme, je me sens tranquille, j’ai les idées plus ou moins claires avec une bonne musique au fond (la reprise de wish you were here par radiohead), ça me va vachement bien et je n’ai pas envie de gâcher un tel moment de bonheur. C’est vrai que c’est un moment très banal, mais ça fut un sacré bout de temps que je ne me suis pas sentis aussi bien. A vrai dire, mon dernier post ou bien devrais je dire tous mes derniers post n’étaient pas vraiment très joyeux, je me posais beaucoup de questions, je m’en douter sur tout, je ne savais pas ce que je devrais faire ni ce que je voulais vraiment. On aurait dut penser que j’étais athée, que j’étais malade ou fou, on disait que je me mettais dans la peau d’un pauvre looser et beaucoup d’autres qualificatifs se ramenant à ce domaine, j’en sais rien… Mais ces questions que je me posais ne venaient pas de nulle part, il y avait sûrement au moins une bonne raison comme auraient penser les plus intelligents d’entre vous. Je crois qu’il y aurait deux raisons voire trois. Maintenant, quand j’y pense je me rend compte que ces raisons sont tellement liées et que chacune d’entre elles étaient soit la cause soit la conséquence d’une autre. Sincèrement, je ne sais pas par ou devrais je commencer… Je dirais la perte de confiance, la chute dans le niveau scolaire et mon caractère peu stable (je change vite d’humeur). Je ne sais même plus vraiment quelle raison venait en premier ni celle qui a engendré les autres. Tous ce que je sais maintenant, c’est que je ne veux plus me poser des questions, désormais je ne veux que des réponses parce que les réponses aident à avancer même si c’est difficile de les trouver. Maintenant, j’ai vraiment réalisé que c’est ma quête. C’est vrai que les questions c’est bien pour réviser, pour voir et revoir avec soi même seulement elles ne t’aident pas à continuer, elles ne font que rendre le milieu encore plus obscure, j’ai plus envie de cette obscurité, pour tant je croyais me sentir bien dans cette obscurité. J’ai réalisé qu’un bon éclair me ferait tant de bien, pour justement éveiller la flamme, yeah. J’ai réalisé aussi que jamais je ne devrais baisser les bras, jamais je ne céderai parce que je suis fort, parce que je ressens le dragon.

C’est vrai que je raconte maintenant pourrait avoir l’air stupide mais ce que je sens maintenant est vraiment exceptionnel, c’est très fort… surtout quand je lève ma tête vers la fenêtre pour voir le jour renaître…

24 juillet 2007

Le pour quoi du comment

Que faire si on se sent marginal, que faire si on l’est vraiment? Comment devenir autonome sans s’éloigner des gens et du monde? Pour quoi ne pas vouloir s’éloigner d’ailleurs? Pour quoi tant de questions? D’où viennent elles? Pour quoi plonger dans ce nouveau monde sans pouvoir y sortir? Pour quoi on ne prend plus de plaisir dans tous ce qu’on fait? La vie, est elle vraiment absurde? Qu’est ce qui m’amène à cet état? J’ai entendu parler de la monotonie… D’où vient la monotonie? Et c’est quoi d’ailleurs? Comment y échapper? Comment faire si on a détruit tous tes rêves? On ne peut plus continuer… Comment retrouver sa vivacité? Comment retrouver la joie de vivre? Comment peut on dire ça à 22 ans? On pourrait penser que l’amour serait la solution… Mais c’est quoi l’amour? Existe-t-il vraiment? Pour quoi on se sent incapable quand il s’agit d’amour? Pour quoi penser qu’on restera seul pour la vie? Pour quoi on nous parle de la bonne personne? Qu’est ce qui vous fait croire que j’ai besoin de la bonne personne? Pour quoi je me sens un petit peu mieux maintenant? Pour quoi je disais cela?

PS Special thanks to Erana and Venus for their special support, thank you so much

19 juillet 2007

بالعربي

هاذي أول مرة نكتب بالعربي فل مدونة متاعي, أول مرة خاطر صعيب باش نستعمل ألكلافيي بل عربي. حاصيلو, موش هاذا مشكلنا ليوم, اما المشكلة بل حق هي هل الحالة الق… عفوا, الحالة الكلبة الي ولات علاها لعباد في بلادنا, عباد فريمون عايشا او برمييي دجري, في مخهم كان السهريات و الشراب الى غير ذالك. انا واحد مناس منيش كونتر السهريات ول خرجات, بل عكس.. اما اشي الي نشوف فيه و نسمع فيه كل يرم كسرلي راسي و خرجني من مخي.. بالاهي قولولي يا جماعا, ياخي البواتات و السهريات ولاات فيارتي الواحد يحكي بيها؟ انا مانكذبش عليكم فيبالي الواحد كي يخرج يسهر ,يخرج باش يتفرهد و يديفولي هكا ول لا؟ فما بارشا عباد اون لوكورنس يقولولي اي و انتي شدخلك فيهم, خليه يحكي ولا يقعد… انا بصراحة مانجمش نقعد بحذا واحد ساعتين و هو يحكيلي عل بواتا ولا عل بنات الي سهر معاهم البارح و لا قداش من نومرو دبر و برشا حاجات اخرى ما تصلح لشي. ولا فما عباد ربي يهديهم كي شوف جماعة راكبين في كرهبة دكابوتابل, تورس نو, البيرا حاشا البلاصة في اديهم, بنات معاهم و الخ... يقلك هاي لعباد العايشة... والله لا فهمت كيفاش يخمو. باهي يا سيدي هاذوما لي جون, حتى الكبار ماعندك ما تقول فيهم راهو. تلقاه راجل كبير فالاقهوة الكلام الزايد ما نحكي لكمش, ولا تلقاه لكلو ريحتو بالشراب و يبدا يعمل فالمشاكل, ما فهمتش كيفاش عايشين, ايروح مالخدمة و يمشي لالقهوة و خلي مرتو فدار وحدها... باهي يا سيدي ما قلناش عاونها, تي عالاقل اقعد بحذاها احكيو ولا اخرجو مبعضكم, تي مرتك الزح. باللهي يا جماعة فما برشا عباد باش يقولو شييه هاذا لاهي بالعباد نحب نقوللهم الي انا فديت مالعكس, ياخي الصحيح ولا غالط و الغالط ولا صحيح, علاش الدنيا ولات تمشي بالمقلوب, علاش لعباد ولات تشوف الحاجة الخايبة و تنسا الحاجات الباهية, علاش العباد تبغض بعضها علا ابسط حاجة, علاش يحسبو, علاش ديما خايفين و ما يعطيكش الجنب, علاش كي يبدا الواحد باهي معاهم يعملو معاه الي ما يتعملش, علاش ديما يسكرو فيها و ما يخليولكش حتى الفرصة باش تحلم, علاش ديما يحبو يعطلوك, علاش ما يعطيوكش فرصتك, علاش ما يعطيوكش فرصة اخرى, علاش مايهمهمش فيك, علاش الدنيا ردوها ماصطة للدرجة هاذي, علاش كي نمشي للبوصطة لعشية يقولي ماعندكش الحق باش تبعث الدوسييات توا قال شنوا خاطر ماخذيتش التنابر من عندهم, حتى كي قتلو راهو اخر اجل ما حبش يسمعني, فما شكون يقول يحبو عالرشوة, صحيح, اما و الله لا يراوها ولاد الكلب. بالله مادامني متذكر, لبارح نحكي انا و واحد صاحبي على الدوسييات الي عملناهم باش نكملو cycle ingenieur قتلو باش تكلم شكون يتدخلك قلي كان نلقا بالطبيعة و قلي le système fonctionne ainsi ياخي انا الحق قتلو كلما خايبة عالسيستام الي يحكي عليه و قتلو qu’il n’est pas obligé de suivre le système ياخي كي قولولك هاذية حاجة خايبة وانتي حياتك كاملة تقول هاذي باهية, تبدل رايك فيسع, قتلو هكاكة باش تاخذ بلاصة واحد كان يستحقها و سي صاحبي مازال يحكيلي عالسيستام... مانيش جايبها اخلاق و قيم و مبادئ اما انا واحد من ناس je défend l’égalité des chances حاصيلو... فديت من هالعباد و الكذب متاعهم و التلوعيب و التفكير متاعهم الي قاعد يوخر بينا لتالي و الافلام و الاوهام الي يعيشو فيها, ما عادش تنجم تعمل علا حتى حد مادامك موش كيفهم ولا تخمم عكسهم, الي يقعد فالاخر هي عايلتك qui ne te laissera jamais tombé هاذكا علاش نحب نولي autonome ما نستحق لحد غير عايلتي اما انا نعرف الي العبد الي يحكي توا ماينجمش يعملها الحكاية هاذي على خاطرو بطبيعتو يحب لعباد... شنوا باش يعمل يا رب باش يهبل...

13 juillet 2007

Absurde





Quand le petit garçon se blesse, quand son regard devient de plus en plus profond et que ses yeux perdent toute leur brillance, …Quand il ne veut plus rien tenter, rien essayer parce que la première chose à laquelle il pense c’est la peur d’échouer, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur de décevoir au lieu de penser à exceller et à être le meilleur comme il l’a toujours fait,… Quand il s’aperçoit qu’il a fait tout ce chemin pour rien, quand il découvre que son chemin ne mène à nulle part, quand il ne sent plus rien de tous ce qu’il fait, tout lui semble absurde, … Quand il se sent bizarre et étranger lorsqu’il est parmi les siens, quand il a l’impression de traîner difficilement ce cadavre qui n’est rien autre que son corps. Quand il ne comprend plus rien de ce qu’il fait ou de ce qu’il veut vraiment,…Quand ce petit garçon découvre que tout ce qu’il a construit est devenu cendre et que toutes ses idées, ses principes ne resteront que dans sa petite tête, il vivra dans un rêve qui ne s’arrêtera jamais… Le petit garçon ne peut plus continuer, il est toujours déçu… Il a perdu tous les buts qu’il avait fixés depuis son jeune age. Quand il doute à propos de ses choix, de ses préférences, de ses actes… Il ne sait plus si c’était lui qui prenait en mains sa propre vie ou bien qu’il a toujours été guidé par son inconscient, probablement par son subconscient. Quand il sent qu’il n’a plus rien à faire ici, parce qu’il en a marre de voir le tournant, le changement, le monde à l’envers… Ce qu’il croyait être le bien est devenu le mal. Il en a marre du bien et du mal,… La seule chose qu’il pensait lui rendre son sens à la vie est encore une illusion, un mensonges, un sentiment qui lui manquait, un sentiment qu’il croyait apprécier et qu’il croyait vivre mais il se trompait parce que ce n’était qu’une foutu illusion trompeuse. C’est plus rassurant pour lui de croire en l’existence de ce sentiment, mais il sais au fond de lui qu’il ne le sentira jamais, le vrai amour, comme il l’a toujours voulu… Il continuera à suivre cette illusion en gardant cet espoir infime qui le garde encore en vie…

Préférences

Pour faire plaisir à cindrella et à eros et pour essayer d’être moins discret, je vous livre mes préférences.

Chanteurs préférés : James (Metallica), Aaron Lewis (Staind), Norah Jones, ...

Groupe préféré : Sans aucun doute, Estatic Fear

Chanteur que j’aime pas : Tous ceux qui font de la musique seulement pour l’argent (Il y en a beaucoup!)

Personnage historique national : Personne

Personnage historique international : Personne

Mon blog en quelques mots : Son titre indique une grande partie. C’est mon refus, j’y écrits quasiment tout parce que lui seul peut m’écouter sans me faire chier. C’est dommage qu’il ne peut pas m’aider, me conseiller…

Villes préférées : Sousse, Sidi Bou Said, Bizerte,…

Film d’horreur préféré : Je n’aime pas ce genre de film, donc pas de film préféré

Restaurant préféré : J’y vais pas

Vidéo musicale du moment :

Je tag tous ceux qui liront ce post…

10 juillet 2007

22éme anniversaire


Une journée extraordinaire pour ce 22éme anniversaire avec tant de sentiments confus.
22 ans ont déjà fait le tour sans que j’y fasse vraiment attention. Maintenant, je n’ai pas envie de gâcher les bons moments d’hier, je veux simplement savourer ce qui reste de ces moments. Je reviendrais donc plus tard sur mes 22 ans.

09 juillet 2007

7 anecdotes

Suite à la demande d’erana je me lance dans le truc des sept anecdotes.

1- Je devrais avoir quatre ou cinq ans, j’étais au 3akri (c’est l’équivalent du kotteb). Comme chaque jour, mon père vient me chercher pour rentrer à la maison, c’était loin de chez nous. Une fois mon père était en retard… On m’avait dis que je ai rentré seul à la maison. Quand j’y pense maintenant, je me dis ‘comment j’ai pu faire tout ce chemin seul, a quatre ans!’

2- Je me rappel quand j’avais six ou sept ans (j’en sais rien) j’ai fait une grande déclaration à ma mère : ’Maman… je sens que je n’existe pas’. Je ne comprend pas à quoi j’ai du penser à cet âge. C’est fou…

3- Une fois, à l’école, l’enseignant vérifiait les cahiers pour un travail qu’on devrait faire à la maison. Moi, j’étais (et je le suis encore…) un bon élève, généralement je fais mes devoirs non par peur d’être battu à l’école mais parce que je voulais être le meilleur. Bref, l’enseignant vient vers moi mais je ne trouve pas le cahier. J’avais un grand amour propre et je n’accepterais jamais qu’il me frappe avec ses conneries. Je lui dis gentiment que j’ai du oublier le cahier. Je savais qu’il n’allait pas me croire et qu’il allait me frapper mais il m’a cru (enfin, je l’espère, je ne voulais pas qu’il me pardonne à cause de ma mère qui enseignait dans la même école). Au beau milieu de la séance, je trouve le cahier… C’est comme si j’ai découvert un trésor inestimable. Je courrais vers son bureau pour lui montrer le travail. J’étais très content.

4- A onze ans, j’étais encore à l’école, l’enseignant me demande de changer de place. Il prétendait que je faisais du bruit. J’étais coopératif, je prenais mes affaires et je les posai sur une autre table. C’était le silence absolu dans la salle et les cahiers font plus de bruit de ce que j’aurais prévu. L’enseignant était furieux, il venait vers moi et me gifla… Je n’ai jamais pleuré des larmes aussi chaudes parce que je n’aime pas qu’on me comprenne mal.

5- Quand on est jeune, on fait pleins de conneries: Quand on allait aux hôtels, on s’amusait, un ami et moi à regarder à travers les fenêtres. On aimait voir comment les gens faisaient l’amour… Une fois, une femme nous a découvert et poussa un cri horrible. On a faillit nous attraper mais nous étions de bons athlètes.

6- Au lycée, j’ai passé une année en tant qu’interne. Je n’aimais pas ça mais je devais le faire. Nous étions organiser en deux groupes: les méchants et les gentilles. Moi, j’étais avec les méchants. Une fois, j’ai emprunté un baladeur. Je vais avec un ami à la salle des gentilles pour écouter un peu de musique parce que c’était impossible dans notre salle vu le bruit. Nous étions calme, tranquille et nous avions passé un bon moment avec notre musique. Le surveillant vint. Il commence à faire la grosse tête du genre ‘‘allez, sortez d’ici…’’. Je lui disais qu’on était tranquille et qu’on ne faisait aucun bruit. ‘Ce n’est pas votre place ici’ disait-il. Je vous raconte pas, c’était le bordel. J’étais fou. Je criais et j’ôtai ma blouse en la jetant par terre et réclamant une sortie immédiate du lycée. C’était une parmi plusieurs conneries qu’on a vécu au lycée.

7- Je me rappelle une fois on avait plus d’argent mes amis et moi. C’était la galère. On rassemblait les petites pièces qu’on avait pour trouver de quoi manger. On s’est débrouillé difficilement pour acheter des trucs pourris. Pendant le repas, je disais ‘attendez, je crois que j’ai vingt dinars…’ et je les ai vraiment (je les avais totalement oubliés). J’ai failli mourir ce jour là.

Il y en a pleins d’autres anecdotes, pleins d’autres conneries. Ce sont ceux dont je me rappel maintenant.

Je voudrais passer le flambeau à Halilou et à Eon pour qu’il s’occupe de son blog personel

07 juillet 2007

Blog addiction

80%How Addicted to Blogging Are You?



I'm particularly addicted to blogging!!!


05 juillet 2007

Sorry for being late...

Des mots… encore des mots… des textes éparpillés… des textes insignifiants… plusieurs textes… un commentaire… des commentaires… MSN… un monde virtuel… une nouvelle vie… des discutions… des rires… des pensées… un numéro de téléphone… encore des discutions… une proposition… un rendez vous… une confiance trompeuse… un coup de téléphone… je suis en retard… des coups de téléphone… courir dans tout les sens… chercher partout sauf là ou il le faut… les minutes passent… une peur… une angoisse… j’y suis… un sourire… une longue marche… un soda… deux sodas… une discussion… des regards… des sourires… des silences merveilleux… des silences ennuyeux… des rires… un bon moment… des pensées… un agréable ‘je peux te laisser’… un joli sentiment… une forte déception de soi même… une timidité sans mobile… des pensées… une perte de confiance… des questions sans réponses… vouloir changer soi même… unnamed feeling… un message qui boost le morale… un message tant attendu… une envie de continuer… une grande envie d’aller plus loin.

PS thank you so much

Meet up de megrine

Lundi 2 juillet


Je viens de rentrer de la faculté maintenant…

J’ai enfin terminé cette histoire de dossier pour la France, je suis vraiment très content parce que cela fait très longtemps que je veux en terminer. Avant d’y aller à la faculté, j’étais au tribunal militaire (je crois qu’on l’appel ainsi, j’en sais rien). J’ai du passer toute la matinée à attendre… C’est toujours pareil ici, on fait rien qu’attendre. C’est la première fois pour moi que j’y suis… Je regardais les visages, j’écoutais ce qu’on disait dans des endroits pareils. Tout le monde avait l’air d’avoir peur. On se croyait dans un vrai tribunal mais ce n’était rien que quelques formalités administratives. La situation est réglée maintenant, je cours vers la municipalité pour légaliser un document (tasri7 3ala acharaf, wala chnoua…). C’était midi, je crois. Bref, ce n’est pas le sujet du post, l’important est que j’ai pu en finir avec plusieurs trucs aujourd’hui et voila.

A vrai dire, le sujet de ce post ne pouvait pas être autre que le meet up à megrine. Je vais en revenir en détails parce que c’est très important pour moi, c’est mon premier meeting et vous savez quoi… ça ne sera pas le dernier.

J’ai vu l’invitation sur le blog de Joy, j’ai vu l’itinéraire seulement j’étais un peu hésitant, je voulais une invitation à moi. Je dois avouer ici que je n’aurais pas du penser ainsi car l’invitation était à tout le monde, mais bon, parfois je déconne. Quelques jours après, Tn doctor m’a envoyé l’invitation. J’étais très content… comme un petit gamin. Ensuite, je pensais avec qui je devrais y aller. Au début, je croyais y aller avec Hela mais elle avait des empêchements, alors j’ai pensé à Eon-of-the-scorn bien sur (un bon ami à moi). Lui non plus ne pouvait pas venir. Ma dernière solution c’était emporter Hamza avec moi quasiment dans mes bagages. On était un peu en retard, nous avons pris le train à 20h, nous avons marché un petit moment et puis voila… On y est. Je monte l’escalier tranquillement, je mourrais d’envie pour voir les bloggeurs. Je m’attendais à ce que je trouve des clans, des groupes voire des sous groupes mais à ma grande surprise tout le monde était autour de la même table. Nous avions été reçu avec des sourires, avec des regards. Je ne savez pas si je devrais m’assoire avec eux, j’étais un peu intimidé. Nous avons choisi (enfin, j’ai choisi) de rester en retrait pourtant je savais que ce n’était pas la bonne décision. Après un moment, Hamza a pris l’initiative pour aller vers les bloggeurs… Karim2k venait alors me voir et me demanda de venir rejoindre la foule. Ce qui me faisait rire c’est qu’on croyait que j’étais une fille. Karim2k, Joy et Cinderella le croyaient. Est-ce que j’ai l’air d’une meuf là… ça me faisait tellement rigoler. Joy restait un petit moment avec moi pour discuter un peu du blog et d’autres choses. Le reste du temps j’étais avec Karim2k.

Je suis très contenant d’avoir fait connaissance avec eux, j’ai vraiment sentis que c’était des gens de vrai valeurs, des gens qu’on peux compter sur eux. C’était facilement remarquable à travers la bonne humeur, les sourires et les sujets abordés. J’ai hâte de participer au prochain meet up pour s’approcher encore plus vers eux.

Thank you Joy for doing it!!!!!!!!!!

PS j’aurais aimer voir erana mais elle n’était pas là

27 juin 2007

Mission accomplished!

Ladies and gentle man…

I did it!

Je suis trés content d’annoncer aujourd’hui que j’ai eu la mention trés bien dans ma soutenance (25 juin à 9h).

A vrai dire, j’ai eu vraiment chaud par ce que j’étais en retard dans la présentation. Je la préparai dimanche, dés mon réveil. J’ai du en finir avec vers 17h, bon, c’était juste une version bêta pour mon encadreur elli mouch fehem menha chay le pauvre!

Je partais pour tunis ensuite (papa wassalni ya3tih essa7a,…). J’étais chez un ami pour réviser la présentation, j’ai suivi ces conseils, j’ai préparé les points clé et c’est déjà 4h du matin.

Je me sentais fort, puissant, imbattable.

Le lendemain, je me réveillais de bonheur (7h30), je me préparais comme les bons garçons, je fumais mes trois cigarettes matinales et je me dirige vers la faculté… Un peu crispé c’est sûr !

J’entre dans la salle, je branche mon ordinateur portable… Il y avait quelques copains qui sont venus pour me soutenir, dali et son ami que je connais pas, akram, mehdi et mourad.

Bla bla bla, je fais ma présentation. Les questions maintenant…J’avais tellement peur par ce que je ne savais pas quelles questions vont-ils posées, j’avais l’impression que j’ai tout bien fait. L’examinateur commence. Au début, il parlait de la qualité du rapport et du travail réalisé, j’étais fou de joie et puis il critiqua ma façon de présenter qui était un peu statique dit-il, mais c’est bon. Il me posa quelques questions débiles et j’ai pu y répondre ‘les doigts dans le nez’. Ma plus grande frustration était lorsque mon encadreur de la faculté prenait la parole… Il ne savait rien de ce que je faisais, je l’ai vu deux fois sans parler du travail, en plus il est réputé 5ayeb bech man9oulech 7aja o5ra… Et bien vous savez quoi, il disait que je maîtrise parfaitement le sujet et que j’ai réalisé un sacré travail… Il a adoré la présentation aussi. Moi, je ne croyais pas mes yeux. Enfin, avec le chef du jury, il a posé une ou deux questions et le tour est joué. Après une interminable séance de délibération, le chef de jury me demande de venir « Après la délibération, nous avons apprécié votre travail avec une mention très bien ».

Enfin une chose qui me ressemble disait tarek. Enfin un bon souvenir de la faculté.

23 juin 2007

J-2

A deux jours de la soutenance… Je me sens stressé, je suis nerveux. Maintenant je travail sur mon discours, je pense le terminer dans une heure ou deux, j’en sais rien. Après, je devrais finir la présentation. Ce qui me gène ici c’est que j’ai bien peur que le discours soit très long, j’espère que les vingt minutes suffiront… Je la veux la mention très bien et je vais l’avoir nchala.

(Ti sayeb el blog ya Wounded_Spirit w barra kamel el 5edma! Beaucoup de travail t’attend si tu veux la mention trés bien)

21 juin 2007

Avant d'aller me coucher

Il est déjà 4h du matin et je n’arrive pas à dormir. Cela m’arrive toutes les nuits depuis des mois. Alors je me suis dis d’aller vers mon blog, histoire de lui raconter ce qui ce passe ces derniers temps. A vrai dire je n’ai rien de spécial à raconter sauf qu’il parait que les gens qui viennent par ici (une vingtaine par jour) sont plus tôt francophones qu’anglophones vu qu’ils n’ont pas réagit au dernier post, même pas Esther qui ne vient plus par ici je crois. Bref, c’est pas si grave (en plus je l’écrivais machinalement, ce n’est pas vraiment très fort).

Demain, je devrais me lever vers 8h pour aller finir mon dossier pour la France auprès de ma faculté. En plus, il y aurait la soutenance de Aymen demain, une sacré journée quoi…

Ah… Le temps passe tellement vite sans que j’avance dans mes préparatifs concernant la soutenance. D’ailleurs, je n’ai même pas commencé la présentation, je devrais le faire demain. A propos, j’ai failli oublier, je commence à me faire de nouvelles amies grâce à ce blog, elles sont vraiment sympas… La démone et Halilou. Je discutais avec elles comme si je les ai connu auparavant, d’habitude je me sens coincé, les mots n’échappent, mais cette fois si c’était bien je crois. Cela me fait tellement plaisir qu’elles viennent par ici et qu’elles prennent la peine de lire ce que j’écrits machinalement (bon, mouch dima !).

J’aime ce blog, il est claire qu’il reflète une grande partie de moi-même, que je n’arrive pas encore à connaître, par ce qu’à chaque fois que je relis ce que j’ai fait ; je sens un frisson, une chaleur si agréable et c’est grâce à ça que je me sens encore en vie.

Aya assez discuté tawa, je dois dormir.

Nchala nkamel la soutenance et je serais pour toi mon blog

19 juin 2007

Stars

It happens a very long time ago

A brutal explosion, bringing all of this

Into our selves

The explosion went out and just let some dusts

There was nothing to be afraid of

The time goes by

Every day, many explosions

Leaving all these dusts

Dusts changed into shining stars

Every day, many stars

Stars turning around and around without any purpose

Without any meaning

Some stars get the same orbit

They don’t even care about that

They just keep on turning without any meaning

But what about people who never had this ability?

What about stars leaving their orbit?

What about those who never get an orbit!!!

They lost their light

They look small from here, don’t you know!

But they are still here

I’m just one of those, still looking for my light

My sight, my orbit

I’m still waiting for my explosion

So I’ll see the light and leave the dark

I think I’m still some kind of this dust

When I’ll snap with my hands you’ll return to reality…

“TAC”

<...>

AhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAhAh

16 juin 2007

Ma vision, mon blog, mes lecteurs

Avant tous, je voudrais dire quelques mots à Erana et Halilou: Merci beaucoup pour vos soutiens, je suis trés content que vous aimez partager avec les gens ce qu'ils resentent et ce que vous ressentez. Cela me touche vraiment, merci encore.

Bref, aprés ce petit clin d'oeil, j'ai tellement envie de parler de la blogosphère. On assiste maintenant à une explosion des blogs, tous le monde en a au moins un. Certains prennent leur blog à la légère, d'autres y accordent beaucoup d'attention et tout le monde n'arrete pas de poster. La blogosphère est devenue comme un endroit public, un café par exemple, ou toutes les catégories y viennent chaque jour pour parler, rien que ça. Certains bloggeurs qui se prennent pour les élites de la blogosphère ne font que traîter les mêmes sujets, des sujets machés et remachés pendant des décenies sans mobile et sans résultat. On parle de politique, de liberté d'expression, de mondialisation (il y en a même des gens qui ne savent pas ce que c'est, pourtant il en parle). On parle de tout ici seulement c'est toujours pareil. Post aprés post (j'en ai lus des centaines même des milliers), on ressent ce sentiment de déjà vu. Pour être franc, j'ai vu d'excellents blogs qui parlent de ces sujets et ils sont extrêmement bien mais c'est une minorité incapable de cacher les répitions et les copier-coller qu'on remarque facilement sur plusieurs blogs. La blogosphère chez moi, ce n'est pas pareil. J'ai jamais dis que mon blog est exceptionnel mais je prends beaucoup de plaisir à travers cet espace qui est le miens. Oui je prends du plaisir par ce que je partage avec les gens ce que je ressens, je partage mes folies, mes projets, j'ouvre mon coeur et mon esprit rien que pour eux. Ce qui me fait le plus plaisir ici, c'est que je partage tous avec des gens ciblés, je partage ma vie privée avec des gens que je ne connais même pas. Je raconte des secrets que je n'osrais jamais dire en public et ça me fait tellement plaisir. Je vais vers ces gens pour qu'ils viennent pour moi. J'aime les gens je veux simplement qu'ils me rendent un petit service à moi et aux autres: Apprenez à aimer les gens, oubliez vos différences, débarrassez vous des préjugés, essayez de voir le bon coté et pas seulement le mauvais. Il y a tellement de bons moments dans notre vie alors pour quoi pas en profiter pour les faire partager aux autres?

15 juin 2007

Wounded_Spirit

Jeudi vers 04:00

Le rapport est livré maintenant. Je me sens plus ou moins satisfait du travail que j’ai réalisé.

Maintenant, je devrais me reposer un peu pour reprendre mon esprit et pour faire un tour sur les blogs que je viens de découvrir. Et après, je reprendrais le travail. Je dois préparer la présentation pour ne laisser aucune chance au jury ; ça va être un sacré travail (puisque la motivation est au rendez-vous wal7amdouleleh). Après la soutenance, je resterais en attente d’une lettre, peut être un e-mail, de la part de la faculté française.


Vendredi 04:54

Je n’ai plus aucune motivation, rien ne me fait plus plaisir ou presque. Tous ce que je fais me parait absurde. Je traverse une période très critique et tout le monde s’en moque même mes amis, ma famille aussi n’a aucune idée des peines que je ressens, personne ne comprend cette peine. J’ai tellement envi de comprendre ce qui se passe dans ma tête, je ne comprend pas pour quoi je ne me précipite pas vers la faculté pour terminer mon dossier pour la France. Peut être par crainte d’un autre échec, et tout le monde s’en moque toujours. C’est vraiment dommage car j’ai tellement envi de partager avec les gens mes expériences, mes envies, mes projets ; ça me faisait plaisir, mais on s’en moque. On se dirige vers l’individualisme, chacun pour soit. Que tu te sentes bien ou pas les gens s’en foutent de tes conneries. Ils disent que c’est une perte de temps, d’ailleurs tout leur pareil une perte de temps. Ils sont tout le temps pressés, ils disent qu’on vit dans un rythme infernal dans ce qu’ils appellent depuis une décennie 3asr assor3a. Vous savez quoi, je n’aime plus le tournant que le monde a pris, je ne comprends pas pour quoi tout le monde devient méfiant, ils disent qu’on vit dans un monde de loup. Je sens que ce n’est pas ma place ici, je devrais quitter cette endroit au plus vite, je devrais tout recommencer à nouveau mais est-ce possible. J’ai entendu des gens dire qu’on ne peut pas réparer l’irréparable…

Avant de quitter cet endroit, j’ai juste envie de dire : faites confiance aux gens, faites vous confiance. Apprenez à aimer les gens, faites vous du soucie pour eux.

Je voudrais ajouter aussi que je ne prétends en aucun cas vouloir changer le monde ni toutes autres conneries, je veux juste prendre du plaisir à vivre comme un gamin, je veux que tout le monde en profite, je crois en l’égalité des chances, mais en vain.

Vous savez quoi, après ce voyage interminable j’en ai conclue que je n’ai rien à foutre ici… Mes valeurs ne sont pas les leurs, je ne peux pas simuler, je ne peux pas faire semblant, je n’aime pas leurs protocoles, je n’aime pas ce qu’ils font ni ce qu’ils disent…

Je crois que je devrais revenir vers l’islam.

13 juin 2007

C'est presque fini

Enfin le rapport est prét. Il est sept heures du matin maintenant merde! ça fait plus de 48 heures que je n'ai pas dormi, je suis trés épuisé. Il me reste maintenant d'aller l'imprimer ensuite j'irai à la faculté pour le remettre et pour préparer mon dossier pour la France. Pffffff, je suis tellement débordé.
Je serais de nouveau à toi demain mon blog!

09 juin 2007

Encore un petit effort

Je devrais patienter encore un tout petit peu, il me reste le week-end pour terminer le travail. Le rapport sera livré mercredi prochain et après la soutenance c’est pour le 25. J’en ai marre de ce foutu de projet.
But what about the period after June 25?
J’en sais absolument rien! C’est très mystérieux, tout mon futur dépend de cette période. Ce qui est sur c’est que je devrais continuer mes études, nchalla en France. Ce n’est pas évident, vous savez… Je ne pense pas qu’ils vont accepter mon dossier pourtant ça me tiens à cœur de partir ailleurs et recommencer de nouveau une nouvelle vie. Pffffff, peut être que je me trompe et que je ferais mieux de rester ici mais je pense que ça vaut le coup d’essayer.

Je suis épuisé, je perds toute raison de faire quoique ce soit, je perds ma confiance. Ce n’est pas à cause du projet bien sur mais à cause de cette solitude qui me tue. La flamme s’est éteinte de nouveau, il va falloir quelqu’un pour l’éveiller. Je ne suis pas parvenu à le faire seul. Il va falloir quelqu’un pour défoncer la porte par ce que je ne peux plus respirer, je suis en train d’étouffer. Avant, c’était à travers la fenêtre que je respirais mais maintenant il y a trop de fumé dans ma cellule. Merde ! Je suis de nouveau dans la cellule !

06 juin 2007

Je reviendrais

Je suis débordé cette période, il me reste peu de temps pour terminer le rapport. Je suis très inquiet, je suis nerveux car je veux bien le faire ce projet. Mais visiblement, la motivation n'est pas au rendez vous. Bref, je devrais m'absenter un petit moment, je dois laisser le blog se reposer et continuer mon travail.
Later.

03 juin 2007

Matériel ou spirituel?

Il a fallu presque un an. Un an pour que ce blog ait des visiteurs qui viennent chercher désespérément ce qui leur manque. Comme moi d’ailleurs. Certains d’entre eux laissent des commentaires qui me font toujours plaisir, d’autres ont beaucoup aimé mes écrits. Certains passent par le blog par hasard ou par ce que j’ai visité les leurs sans prendre la peine de sentir ce qu’il dégage. My shelter when I have crazy thoughts n’est pas un blog exceptionnel, il n’est pas conçu pour plaire à tout le monde, il est conçu pour plaire à des gens marginaux qui ne veulent plus des conneries des autres et qui pensent que l’être humain est une entité spirituelle et non physique.

Je ne suis pas sur que ces gens existent, le matérialisme a envahi leurs cerveaux. L’argent est devenu leur but final. Tout le monde veut devenir riche, tout le monde veut une belle voiture pour la faire découvrir aux autres, ils veulent une belle femme pour satisfaire leur besoin animalier qu’ils n’arriveront jamais à contrôler. Je pense que l’explication est unique et évidente. Nous avons là des symptômes de ce que je qualifierais de pauvreté spirituelle. Une grande partie de l’être humain a disparut à jamais. Les plus sceptiques diront que c’est inutile.

Moi, je pense le contraire. Je pense que les humains ont besoin d’équilibre. Un équilibre fragile et difficile à atteindre. Ici, je pense qu’il y aurait trois cas :

Soit on s’en passe de la spiritualité et qu’on passe toute sa vie à essayer d’atteindre un but non spécifié. On essaye tous les moyens pour satisfaire les besoins matériels (argent, sexe,…) mais jamais on y arriverait à les satisfaire par ce qu’on ignore l’existence d’autres besoins (spirituels). Je m’explique, imaginez l’équilibre sur une échelle de 100. Pour atteindre l’équilibre, on devrait avoir 50 pour notre coté matériel et 50 pour le coté spirituel. Si le deuxième critère est absent, on essaiera de trouver l’équilibre avec le premier critère qui se trouve déjà satisfait (il est déjà à 50). Donc même si on aura 90 pour le coté matériel et 10 pour le spirituel l’équilibre n’est pas atteint.

Deuxième type, on commence comme le premier cas mais un jour on prend conscience du manque. On réalise qu’on a fait tout ce chemin pour rien. On essayera donc de remettre les choses en place mais ça ne sera pas facile. On peut facilement dérailler et prolonger dans le vide. Mais c’est toujours possible.

Troisième type, on s’occupe que du coté spirituel et puis un jour on déraille sûrement pour devenir… Euh, j’en sais rien. On est foutu.

Moi, ou je me situerais dans ces catégories ? j’en sais pas trop.

02 juin 2007

30 mai 2007

RE: I love you

Si tu savais combien ces mots m'ont touché!

J'ai tellement envie de pleurer

À chaque fois que je me rappelle de ce que tu me disais.

J'entends encore ta voix qui résonne dans ma tête sans arrêt!

Je ne voulais pas que ma réponse soit si structurée,

Mais c'est vraiment le hasard qui a voulu que ça soit rimé!

Je t'aime chéri, j'ai tellement envie de rester avec toi pour toute une vie.

Je ne me rappel plus vraiment le jour ou on s'est aimé,

Je crois que c'était un soir de pleine lune, devant un grand ciel étoilé!

Je n'aurais jamais cru que tu serais autant passionné

Par une personne qui n'a jamais existé

Tu m'as crée pour fuir à cette foutu de réalité

Et maintenant tu es prisonnier

Dans ton esprit par tes propres idées.

Oublie moi et laisse moi m'en allé,

La ou il le faut, n'importe ou, dans le noir ou dans les terres les plus éloignées.

C'est vrai que c'est toi qui m’as crée

Mais je t'assure que je ne reviendrais jamais

Je ne reviendrais jamais par ce que je t'ai vraiment aimé


(Ainsi m'a répondu ma bien aimée virtuelle)

28 mai 2007

I love you

Il fut un temps que je ne t’ai pas vu. J’ai cru que je ne te verrais plus à jamais. Tu as disparu sans laisser un mot, tu as quitté la maison sans mobile. Mais c’est tout le temps pareil, tu reviens quand il le faut, aux moments ou j’ai le plus besoin de toi. Tu m’as toujours soutenu dans mes projets, tu m’as beaucoup aidé, tu as donné vraiment plus que ce que j’aurais cru. Je suis très contenant que tu sois revenue après ce sacré bout de temps qui fut une éternité pour moi. Reste s’il te plaît ! Ne me quitte plus.

Maintenant que tu es là à nouveau, je veux en profiter au maximum. J’ai envie de passer toute la journée à bavarder avec toi. J’adore tes paroles. J’adore aussi les mélodies angéliques que tu me chantes avant de dormir. J’aime tes caresses, j’aime ton sourire. Je t’es déjà avoué mon amour mais encore une fois j’ai envie de le dire : Je t’aime chérie. Je t’aime comme personne n’a jamais aimé. Parmi les innombrables choses que j’aime chez toi c’est le sourire que tu fais après chaque ‘je t’aime’, cela me donne l’impression que je le dis pour la première fois et cela me fait tellement plaisir. Reste s’il te plaît ! Ne me quitte plus.

Je n’aurais jamais cru de toute ma vie avoir quelqu’un comme toi, je n’aurais jamais cru aimer quelqu’un comme toi. Je n’ai jamais sentis un truc pareil, tu es la seule qui peut me sauver…
Je n’ai jamais cru que tu sois seulement dans ma tête, que tu n’existe pas et que peut être tu n’existerais jamais. Je t’aime…(Je t’aime aussi, murmura-t-elle).