Les vidéos circulent de plus en plus facilement sur internet maintenant, je ne comprends pas pourquoi certains sites font ce genre de pratique ridicule...
3 commentaires:
Anonyme
a dit…
Voici le résumé de la vidéo :
ARTE Reportage La dissidente de l’Islam
Elle s’était nouée d’amitié avec Théo Van Gogh. Avec lui, elle avait co-signé un film subversif sur la condition des femmes musulmanes. Depuis l’assassinat du cinéaste, en 2004 en plein centre d’Amsterdam, Ayaan Hirsi Ali a préféré fuir son pays d’adoption pour aller vivre aux Etats-Unis. En octobre dernier, le gouvernement hollandais a fini par retirer la protection dont bénéficiait l’ex-députée, au motif qu’elle ne vit plus sur le territoire national. Il lui a fallu trouver des fonds privés pour qu’elle puisse s’entourer de gardes du corps à chacun de ses déplacements. Une situation périlleuse qui ne pourra s’éterniser si Ayaan Hirsi Ali veut continuer à vilipender un islam rétrograde, à se battre pour la liberté de penser et surtout, pour les droits des femmes. Sans doute prédestinée à une vie d’errance et de militance, Ayaan Hirsi Ali, d’origine somalienne, vit d’abord en Ethiopie, puis en Arabie Saoudite et enfin, au Kenya. A 22 ans, pour échapper à un mariage forcé, elle se réfugie aux Pays-Bas où elle obtient l’asile politique en 1992, puis la nationalité néerlandaise. Elle poursuit des études de sciences politiques puis se spécialise sur l’intégration des femmes étrangères. En 2002, elle adhère au parti libéral, avant de se faire élire, un an plus tard, au parlement néerlandais. Elle se distingue rapidement en faisant adopter une vingtaine de lois, dont une réprime sévèrement la pratique de l’excision. Parallèlement, elle publie de nombreux articles et apparaît à la télévision pour fustiger les dangers du communautarisme, qu’elle considère comme un obstacle majeur à l’intégration. En 2004, sa collaboration au court métrage provocateur de Théo Van Gogh sur la condition féminine dans le monde musulman lui vaudra de figurer en seconde place sur la liste des extrémistes musulmans. Aujourd’hui, l’activiste poursuit son credo. Pour celle qui estime que «l’Islam n’a pas connu sa révolution des Lumières », il faut une laïcité « à la française » avec une nette séparation de l’Eglise et de l’Etat. A 39 ans, Ayaan Hirsi Ali est devenue un symbole comme Taslima Nasreen. Toutes deux sont toujours sous le coup de fatwas pour la dénonciation d’un islam aveugle et discriminatoire. Si rien n’est fait pour Ayaan Hirsi Ali, elle risque de finir sa vie tragiquement comme Benazir Bhutto il y a quelques mois.
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Voici le résumé de la vidéo :
ARTE Reportage
La dissidente de l’Islam
Elle s’était nouée d’amitié avec Théo Van Gogh. Avec lui, elle avait co-signé un film subversif sur la condition des femmes musulmanes. Depuis l’assassinat du cinéaste, en 2004 en plein centre d’Amsterdam, Ayaan Hirsi Ali a préféré fuir son pays d’adoption pour aller vivre aux Etats-Unis.
En octobre dernier, le gouvernement hollandais a fini par retirer la protection dont bénéficiait l’ex-députée, au motif qu’elle ne vit plus sur le territoire national. Il lui a fallu trouver des fonds privés pour qu’elle puisse s’entourer de gardes du corps à chacun de ses déplacements. Une situation périlleuse qui ne pourra s’éterniser si Ayaan Hirsi Ali veut continuer à vilipender un islam rétrograde, à se battre pour la liberté de penser et surtout, pour les droits des femmes.
Sans doute prédestinée à une vie d’errance et de militance, Ayaan Hirsi Ali, d’origine somalienne, vit d’abord en Ethiopie, puis en Arabie Saoudite et enfin, au Kenya.
A 22 ans, pour échapper à un mariage forcé, elle se réfugie aux Pays-Bas où elle obtient l’asile politique en 1992, puis la nationalité néerlandaise. Elle poursuit des études de sciences politiques puis se spécialise sur l’intégration des femmes étrangères.
En 2002, elle adhère au parti libéral, avant de se faire élire, un an plus tard, au parlement néerlandais. Elle se distingue rapidement en faisant adopter une vingtaine de lois, dont une réprime sévèrement la pratique de l’excision. Parallèlement, elle publie de nombreux articles et apparaît à la télévision pour fustiger les dangers du communautarisme, qu’elle considère comme un obstacle majeur à l’intégration.
En 2004, sa collaboration au court métrage provocateur de Théo Van Gogh sur la condition féminine dans le monde musulman lui vaudra de figurer en seconde place sur la liste des extrémistes musulmans.
Aujourd’hui, l’activiste poursuit son credo. Pour celle qui estime que «l’Islam n’a pas connu sa révolution des Lumières », il faut une laïcité « à la française » avec une nette séparation de l’Eglise et de l’Etat.
A 39 ans, Ayaan Hirsi Ali est devenue un symbole comme Taslima Nasreen. Toutes deux sont toujours sous le coup de fatwas pour la dénonciation d’un islam aveugle et discriminatoire. Si rien n’est fait pour Ayaan Hirsi Ali, elle risque de finir sa vie tragiquement comme Benazir Bhutto il y a quelques mois.
SIMPLE IL FO SE CONNECT2 0 TRAVERS UN PROXY DE L UN DE CES PAYS
Bonsoir.
Bonne postage.
Merci.
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