Avant-hier, je disais que je n’était pas le plus chanceux mais c’est pas moi le plus a plaindre, et bien aujourd’hui je dis que c’est justement moi le plus a plaindre merde. Je ne comprends pas ce qui est entrain de m’arriver ces putains de derniers temps, absolutely unbelievable.
J’arrivais vraiment mal a trouver le sommeil, étant donné les circonstances du jour passé. Je crois que je dormais vers 3h ou 4h du matin, je sais plus. Je me lève de bonheur le lendemain et je me dirigeais vers la fac comme les bons garçons gentils. C’était un examen de réseau, ma spécialité (théoriquement, mais dans la pratique c’est toujours pareille !). Comme j’avais raté le DS, j’avais vraiment envie de récupérer et j’ai préparé comme il le fallait, je crois. Tout le monde me disait « ah, té de bonheur aujourd’hui ! ». On pouvait facilement voir leurs moqueries et leurs indifférences pourtant ça était très dur pour moi. Bref,… réactions prévisible pour des gens de plus en plus prévisible, c’est toujours pareille, il y a quand même quelque bons éléments (tarek, comme dab, hajer !, c’est tout). Je crois que « tawalt.ha w hiya 9sira », je reviens donc, hum… J’étais en salle bien dans ma peau, je travaillais, tout le monde travaillait aussi d’ailleurs, j’ai rencontré quelques difficultés mais je me débrouiller pas mal. Moins d’une heure s’achevèrent, j’étais sur le bon chemin lorsque le secrétaire général entra en salle. Je savais que j’allais rencontrer des emmerdements vu que j’ai oublié mes papiers administratifs mais jamais de ma vie je n’aurai cru être expulser de la salle d’examen…
Et vous savez quoi, l’enseignante qui était présente lui disait qu’elle me connaît merde, et que j’assiste en cours, elle me connaît bien. Mais son « excellence », Monsieur le secrétaire général, était un homme de droit, il voulait a tout prix appliquer la lois comme si c’était son père qui faisait ces bordels de lois. Il pique mes papiers, me cria dessus pour sortir de la salle et je l’ai fait… Je ne savais pas ce que je devrais faire, I’ve just lost my mind. Que ces gens là soient maudits jusqu’à la fin de leur vie, que dieu les fera souffrir comme ils m’ont fait subir, ces gens là doivent ouvrir les yeux, ils détruisent la vie des gens, ils brûlent les rêves des jeunes. Ils m’ont brûlé.
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