23 octobre 2010
23 juillet 2010
Le retour de Wounded Spirit
Je reviens au blog. Je reviens vers l’écriture qui semble être un bon moyen pour extérioriser. Les événements ce sont précipités mais j’avais vraiment ni le temps ni l’envi d’écrire. J’étais tout le temps en ligne avec ma copine, vu la distance qui nous sépare, on devrait passer du temps ensemble. C’est vraiment bien. Je lui racontais tout, je partageais tout avec elle donc je n’avais pas besoin d’aller vers le blog pour en parler. D’autre part, je ne retrouve plus la blogosphére d’avant, celle de 2006 ou j’avais commencé cette expérience de blogging. Mon blog est décalé par rapport aux autres blogs. J’ai vraiment du mal à trouver avec qui partager mes expériences. La blogosphére d’aujourd’hui contient beaucoup de propos incitant à la violence, à la peur, à la haine, à la discrimination, etc… Donc je reviens pour respirer, pour reprendre cette activité qui me tiens vraiment à cœur et qui me fait du bien. L’écriture, comme la musique, a été toujours là pour moi quand j’allais mal, elle ne me laissera jamais tomber tant que je suis encore en vie. J’écris, donc je suis.
Pour ceux qui m’ont contacté et qui voulaient avoir de mes nouvelles, je voulais vraiment les remercier et je voudrai spécialement m’adresser à ma chérie qui m’a toujours encouragé et qui m’a pousser à revenir au blog malgré tout. J’adore bien ce qu’elle me disait. Elle disait que j’étais son Beigbeder, son Camus… Sachant que ce sont mes écrivains favoris. Parce qu’à un certains moment j’avais plus confiance en ce que j’écrivais, je détestais mes écrits. Donc je voulais dire que je vais relativement bien depuis 10 mois maintenant, avec des baisses de morales bien sûr, mais je m’en sors bien je crois. Ma chérie dit que je vais mal cette période, elle commence à s’inquiéter pour moi et à angoisser. Moi, j’essai de garder la tête froide pour la rassurer et même si je vais mal je dois être là pour elle pour la consoler, pour l’aider,… Elle devrait être furieuse maintenant, elle m’avait demandé des recherches et moi j’avais retardé le truc. Je m’en veux quelque part mais je suis tombé dans un coma du à la fatigue je suppose (j’ai dormis tout l’après midi). Je sais qu’elle me pardonnera, ça m’angoisse un peu, mais c’est réconfortant de dire cela.
Donc voila, je tacherai d’être plus présent sur le blog pour parler de ce qui s’est passé depuis combien déjà ? 3 mois ou 4 ? J’en sais rien…
17 juillet 2010
I need to come back
21 mars 2010
Amour et âme soeur
PS Tu es tout pour moi
02 mars 2010
A propos de mon avenir
Me voila dans ma chambre, seul. Je pense à ce que serait mon avenir dans quelques mois. Rien n’est encore certain, tout me parait flou. Je devrais d’abord terminer ce semestre et puis voir ce que mon destin me cache, le monde professionnel ou encore des études. Je n’en sais rien encore. Tous ce que je sais c’est que cette année est vraiment très importante pour moi, j’aimerai qu’elle soit mon vrai début, ma relancé, ma montée… Malheureusement, cela ne dépend pas que de moi, plusieurs facteurs y entre. Ça fait bizarre quand on n’ait pas le contrôle sur certains facteurs imprévus. Je site ce qui m’est arrivé l’année dernière… Cette année je pense que ça ne sera pas pareil, enfin je l’espère. L’année dernière et celle d’avant (celle d’avant aussi, je crois que c’était toujours le cas pour moi) j’avais besoin de quelqu’un pour être là pour moi, quelqu’un qui m’aime vraiment pour ce que je suis, quelqu’un comme moi, aussi passionné et marginal… cette personne est, sans aucun doute, indispensable à mon équilibre tellement fragile. Maintenant qu’elle est là, je sens que j’ai une longueur d’avance, j’attaque mes projets avenir accompagné, plus de place pour la solitude qui me hantait depuis 24 ans, je me sens plus sur de moi, plus fort, plus lucide. Je crois aussi que je deviens moins dur avec moi-même, plus flexible. Je savais que l’amour fera des miracles pour moi. D’ailleurs concernant ce sujet, mon psy m’avait dis qu’il devrait prescrire de l’amour pour ses patients borderline. C’est une blague, certes, mais qui en dis long. Maintenant, j’essai de garder le rythme, assister à mes cours et avancer à petit pas surs vers un jour meilleur. Vous connaissez surement ce vieux dicton qui dit avancer vers la lumière, mais franchement la lumière je n’arrive pas encore à l’atteindre. Je suis encore dans l’obscurité. J’ai vraiment besoin d’un nouveau départ, une nouvelle vie, une nouvelle expérience. Evidement, ce n’est pas donné à tout le monde, parce que tout le monde en veux, mais pour moi c’est une question de survit. Je vais faire de mon mieux, je vais me battre pour avoir ma chance… J’avais un ami qui me disait toujours que c’est à nous de créer nos chances, il avait raison en fin de compte. Moi, je vais prendre mon sujet de projet de fin d’année la semaine prochaine pour commencer à travailler sérieusement et pour compléter mon cv, ensuite je me mettrai à la recherche d’un projet de fin d’étude. J’avais parlé avec beaucoup d’amis à ce sujet et j’avais remarqué que presque tous me parlaient de développement logiciel. C’est vrai, ça fait une bonne partie de notre travail en génie logiciel mais ce n’est pas la seule voie à suivre. Moi, personnellement, je ne suis pas très développeur, je me vois pas dans la programmation pure et dure. Je suis plutôt passionné par la recherche, le business intelligence, les bases de données, l’informatique décisionnel, les systèmes d’information, l’intelligence artificielle,… mais le développement en tant que production n’est pas vraiment ma tasse de thé. Cela me fait penser et réfléchir sur mon avenir. Espérant que tout ce passera bien…
PS tout ce passe bien tant que la plus magnifique femme du monde est là
22 février 2010
Nouvelle sous anxiolytique
Ça fait quelques heures que je suis rentré chez moi, mon deuxième chez moi. Ici dans cette cité universitaire qui ne m’inspire rien du tout. J’ai rangé mes affaires, mis mon téléphone à la prise et réglé la connexion internet qui déconne encore et toujours. J’étais seul, mes colocataires n’étaient pas encore là, et j’avais besoin de quelques mots d’amour. Je me suis connecté en espérant de trouver l’amour en personne.. et je l’ai trouvé ! Ma reine était là. On a discuté un petit moment, on s’est dis des mots doux, des mots d’amour. Ce que j’aime bien dans notre couple c’est qu’il est basé sur la communication. On se dit tout, on prend nos décisions ensemble, on se rassure mutuellement, on est toujours là l’un pour l’autre malgré la distance qui nous sépare et malgré nos engagements. Ensuite, je suis allé à la cafétéria du coin, juste en bas, pour me changer les idées, pour réfléchir, pour penser, pour rêver… J’ai mis de la musique et je fumais. J’avais remarqué que le serveur n’était pas de bonne humeur, il était triste, je le sentais. Un homme grand qui devrait avoir la quarantaine et que sa tristesse était le dernier souci de tous les présents, mais pas moi. J’ai toujours eu ce faible pour les gens triste et malheureux, et je me dis que je peux faire quelque chose pour eux avec quelques mots, quelques conseils,… parce que la tristesse, je sais ce que c’est. Je connais aussi certaines phrases qu’on pourrait me les dire quand je suis triste mais personne ne peut les dire, excepté l’art, la musique, l’amour… excepté une femme angélique… J’utilise souvent certaines phrases pour rassurer mes interlocuteurs et je le fais bien je suppose. Ce n’est pas des phrases toutes faites, ce ne sont pas des expressions que je prépare à l’avance, loin de ça.. Ce sont juste les mots du cœur qui soignent leurs maux du cœur. Le serveur avait pris une chaise et il est venu s’assoir à coté de moi. J’enlevai mes écouteurs et je me penchai vers lui pour le mettre à l’aise. Je lui demandai comment il se sentait et il a attaqué directement le vif du sujet. Il m’avait parlé de ses problèmes mais je ne peux pas entrer plus dans les détails pour respecter l’intimité de cet homme que je respecte beaucoup. Ça m’a marqué, ça m’a vraiment touché et j’espère que ce que je lui disais pourrait l’aider à supporter le coup et à être encore plus patient. Au bout de quelques cigarettes, quatre je crois, je me suis dis qu’il était temps de partir et que je ferai mes réflexions plus tard dans la nuit. Je suis mieux inspiré la nuit, normal, je suis nocturne. Une fois à la maison, j’ai pris un anxiolytique. Ce n’est pas parce que j’avais une crise d’angoisse ou que je me sentais mal mais j’avais tout simplement envie d’en prendre. Ensuite, je me suis dis d’aller écrire un peu, extérioriser pour mieux voir et comprendre. Je devrais revenir au blog, il me manque, mes écrits me manque aussi…
PS Merci à toi, femme angélique...