31 mai 2008

The other side of the river

Can’t find a way to pass over the other side of the river

I faintly raised my burdened head to see the special moon gone

Leaving not a single ray of joy to rest upon

And then I felt whispering breeze on my bloody skin

Unable to relieve my wounded spirit from all my endless grieves

I enjoyed belonging to this melodious but painful play

I’ll always remember the dance we entangled the feeble leafs and I

Many weary nights endured my unquiet dreams and my misery

How sweet if I could share with you

Falling in a somber sleep and quickly lost in a dream

I tried to find my way like a pilgrim who craves a shelter’s guiding light

No one could hear my exhausted unborn cries

So why should I resist more and more

The hurricane has taken all my strength

How sweet if I could imaging smooth emotions touching my heart

The war declared is everlasting and I just can’t handle it

I wish I could leave, I really wish I could leave

I can’t leave without doing something but I can’t do anything to live for

Tiered of seeking a ghost who could save me from my self

Take my hand and let us fly to the other side of the river…

25 mai 2008

Le zéro et le cent

Le zéro et le sang m’inspire…

Le cent aussi.

Une échelle de zéro à cent avec des maux

Des mots qui font très mal comme des flèches empoisonnées

Empoisonnées de tendresse et d’amours vierges…

Je suis amoureux de rien, du vide

Amoureux d’un rêve d’enfant emprisonné…

D’une nuit et de ce grand ciel étoilé

Du zéro jusqu’au cent

Y a rien, sauf du sang

Pas de nuance

Tu comprends pourquoi zéro est égal à cent?

Ça donne le même effet, donc c’est bon

Je me sens mal quelque soit le pourcentage

Comment peut-on monter et descendre lentement ?

Des efforts effrénés…

Un combat éternel perdu à l’avance

Un labyrinthe qui n’obéit à aucune loi

Non, c’est moi…

Alors ?

Tu me donnes combien sur une échelle de zéro à cent ?

Je te donne mon sang…

Et après ?

19 mai 2008

Viens avec moi...


Approches toi et prends ma main, sors moi de la. Ça fait un moment que je t’attends. C’est grave à quel point les nuits sont agitées ici. Ne me laisses pas te suivre, montres moi plutôt la lumière qui me guidera vers mon refuge… Je t’en pris, ne vient pas avec moi… Je te jure, c’est pour ton bien... Viens avec moi, viens… Non, non… Je ne peux pas. Souviens-toi de ces sourires et de ces fous rires. La brise s’en souviendra à jamais, les feuilles mortes témoigneront en notre faveur et on appréciera notre voyage magique vers un rêve qui ne sera jamais une réalité, parce que notre rêve est devenu notre réalité. Notre réalité est différente de la leur. On est très loin maintenant… On s’éloigne encore, on a besoin du calme… Il fait nuit et il pleut. Le brouillard couvre la splendeur de la pleine lune qui apparait à peine. Est que tous ça est bien réel ? Pour quoi les choses arrivent ainsi ? Pourquoi ce cadre ? Shhhhht… Ne dis rien et surtout ne fais rien, je crois qu’on m’appel. Je reviens… Ils m’ont dis de choisir, mes peines et mes douleurs disent que c’est une simple question de choix… Et le destin dans tout ça ? Tu y crois tellement fort, oui je sais. C’est le désordre total par ici… Ne Viens pas avec moi, on décidera quand le bon moment viendra, on ne peut pas prendre une décision dans un rêve. Je viens avec toi alors… Tu trouveras mon corps à cette adresse…

10 mai 2008

Ecrire.. Ecrire..

J'ai tellement envie de parler. Aprés tout ce temps sans rien écrire, j'ai vraiment besoin de m'exterioser pour essayer deseperement de calmer mes maux. L'écriture est mon seul moyen. Je n'aime pas trop parler de ça au grand public pour des raisons multiples. En fait, je parle trés souvent de mes peines à certaines personnes auquelles je mets trop de pression sans le vouloir. J'attends toujours qu'on me dise ce que mon esprit voudrait entendre, je voulais qu'on trouve la bonne combinaison pour déverouiller la porte. A vrai dire, les gens ne sont pas trés doués pour ça et ils ne devraient pas l'être pour la simple raison qu'ils ne peuvent pas réfléchir à ma place et ne peuvent pas sentir ce que je ressens pour savoir ce que je désir. Fort convaicu par cette illusion, j'ai côtoyé plusieurs personnes tellement différentes les unes que les autres mais en vain. C'est surtout les réactions qui me font mal et qui ne m'aident pas vraiment à avancer et c'est là que j'avais compris que les autres n'y peuvent rien pour moi, ça devrait être pour cela que je m'isole assez souvent. Des fois je me dis que ça sera bien si je rencontrerais moi-même, ça me fera du bien de pouvoir discuter avec lui pendant des années entières. pourquoi je dis ça? Je déraille... Il me faut de l'aide avant que ça soit trop tard, pour sauver ce qu'on pourrait sauver de ce qui me reste encore. Je n'ai jamais sentis un truc pareil, je ne me suis jamais sentis aussi proche de la fin, si ce n'est pas deja le cas. Et demain sera un autre jour...
Je me léve trop tard. Je mange un truc rapidement et je fume ma cigarette matinale. Il fait gris aujourd'hui mais il ne pleut pas, j'aurais aimer faire un petit tour sous la pluie pour m'éclércir les idées. Mon coeur bat toujours aussi fort et je me sens trés mal, ça va durer encore et encore. Même si je me sentirai mieux, je sais bien que ça recommencera alors pourquoi résister? Pourquoi continuer? Mieux en finir le plus tôt possible, maintenant... Il me reste une derniere carte à jouer, on discutera aprés...