On s’est donné rendez-vous, tout semblait être réglé. Nous avions fixé l’heure et l’endroit deux nuits avant. J’attendais impatiemment, j’étais motivé comme un bon garçon surexcité qui allait rejoindre son école. Je devais passer la nuit à Tunis. J’appelle Ilyes. Il accepte. C’était quelques minutes avant que je rejoigne sa maison que le temps changea. Un orage éclata. Je ne pensais pas que cela va se poursuivre toute la nuit, mais bon. La maison de Ilyes était archi comble, il y avait trop de monde. Après le souper, il pleuvait encore et encore. J’étais fou de rage, je ne voulais pas rater le rendez-vous et en plus il y avait trop de bruit qui m’empêchait de rester concentré sur les sons que faisait la tempête. Finalement, j’arrivais difficilement à les assimiler au bruit de fond. Vers 23h je crois, tout était fini. La tempête, le mauvais temps, la pluie et le rendez-vous, bien sur. Foutue de malchance.
26 septembre 2007
23 septembre 2007
Soirées virtuelles inoubliables
Une fois elle m’avait demandé ce que j’attendais d’elle. J’ai répondu franchement, et je disais que je voulais la rencontrer pour éventuellement voir si jamais on pouvait tenter un truc ensemble. J’étais presque sûr qu’elle le savait, parce qu’elle est très intelligente (peut être que je joue carte sur table aussi, j’en sais rien). Quand je lui avait parler de ce post elle était très contente, je voudrai donc en profiter de l’occasion pour lui dire : C’est vrai qu’on se connaît à peine mais je me sent très proche de toi et que je vois en toi l’agréable lueur de l’espoir. Tu pourras me dire que c’est bien trop tôt pour le dire,… tu as probablement raison, j’avais juste envie de le dire.
16 septembre 2007
Back to future
L’autre soir, j’ai vu défilé devant mes yeux quelques images du passé, le mien et celui de certains de mes amis quand on était au lycée pilote, même avant. Je me rappelais comment on était si brillant et qu’on était les chouchous des profs. Bien sur, je ne pouvais pas retenir mon sourire pendant une bonne minute, parce que c’était du vrai, mais juste après je fais face à la réalité, la réalité que maintenant on n’a plus rien de brillant. Moi, comme je disais à l’instant je suis en privée maintenant, il y a beaucoup d’autre avec moi, Mehdi ne sait même pas dans quelle fac il sera cette année, il était exclu de notre ancienne fac et il avait déjà perdu un an en prépa. Bien sur, je ne pouvais pas retenir mes larmes parce que je ne comprends pas ce qui nous est arrivé. Quelle que soit la cause de notre chute nous allons montrer à tout le monde qu’on est toujours là et qu’on méritera notre place indépendamment du foutu système et de toutes sortes d’empêchements.
ONE FOR ALL, ALL FOR ONE, WE’RE STRONG, WE’RE ONE
Ps : Je voudrais remercier ‘My Butterfly’ qui me dit toujours que ça ne sert à rien de tourner en rond. Merci pour les discussions vraiment adorable, tu es adorable.
14 septembre 2007
10 septembre 2007
Unnamed Melody
Sécher les larmes chaudes qui brûlent mes joues et qui gèlent toutes mes envies et mes désirs
Parler silencieusement pour tous dire, ou bien se taire pour ne pas se contredire
Pas d’importance tant qu’ils s’en foutent, ils nous bloquent au lieu de nous soutenir
On nous dis toujours d’aller de l’avant pour oublier tous ces mots et ces maux qui font frémir
Ignorant se qui se passe à l’intérieur, plusieurs personnalités essaient désespérément de se tenir
Je ne sais pas si un jour on arrivera à tout arranger, on a eu vraiment assez de mal se sentir
Assez de toutes ces perturbations d’humeur, on ne peux même plus,…je ne sais plus quoi dire
On se laisse tout de même cet espoir infime en l’existence d’un miracle, probablement un élixir
Par ce que sans cet espoir on souffre et on fait (ou on faisait, fera) souffrir
08 septembre 2007
Break the silence (Bis)
Quand je me suis levé aujourd’hui, à 19h30, ma mère était si furieuse contre moi, elle n’arrêtait pas de me crier dessus, elle disait exactement tous ce que je ne désire pas écouter quand je me sens mal. Je prenais mon déjeuner, elle criait encore. Une fois que j’ai terminé mon repas, je débarrassais mon assiette, elle criait encore. Je n’ai pas pu m’empêcher à briser l’assiette contre le lavabo. Mon père était là aussi. C’était comme un message pour eux, un message qu’ils n’auront malheureusement jamais. Jamais ils ne comprendront ce qui se passe à leur foutu fils parce que je les aimes trop. Je les aime à un point que je ne pourrais pas leur expliquer mes détresses, ça leur fera beaucoup de peine, et en plus je n’ai pas j’habitude de communiquer avec eux. Comment je pourrais leur traduire les migraines terribles que j’ai. Comment je pourrais dire que je n’ai aucune raison pour vivre, que tout me déplait, que je ne veux plus rien faire. Comment je pourrais leur expliquer que j’ai besoin d’une très longue putain de thérapie… Comment pourrais je expliquer quelque chose que j’ignore, que je n’ai jamais pu la déchiffrer. Tous ce que je fais maintenant c’est blogguer et puis sortir la nuit avec la bande d’enfoirés que je fréquente pour les entendre parler des sujets qui ne valent généralement rien (parfois, fama de bonnes discussions), je rentre chez moi vers minuit, je blog encore et c’est tout. Plus d’occupations, plus de motivation pour quoi ce soit, je déteste ce que j’aimais faire. Même mes écrits je ne les ressens plus quand je les relis. Je ressens seulement mon cœur battre tellement fort que je ne le supporte plus, alimentant ainsi mes veines et mes vaisseaux sanguins par toutes ces peines et douleurs, puis circulent vers tout mon corps provocant par la suite toute cette souffrance qui ne s’arrêtera peut être jamais. Je veux que tous s’arrêtent.
07 septembre 2007
Break The silence
J’avais eu peur de perdre l’unique pseudo activité qui me motive en ce moment, j’avais peur de perdre l’envie de m’exprimer dans ces lignes qui restent toujours insignifiantes. Je ne sais même plus si je l’ai perdue ou pas, tous ce que je fais maintenant c’est laisser mes doigts aller sur le clavier, tapant toujours ces lignes maudites qui ne serrent à pas grand-chose appart un moment négligeable d’activité qui ne serre à rien en fin de compte… Je crois que ça permet au moins de briser le silence qui a duré longtemps ou peut être qu’il n’a jamais duré, je ne me souviens plus. Tout ce que je sais c’est que…, je voulais dire, je crois savoir… ou peut être bien, il me semble que la seule chose que je crois savoir est que je ne supporte plus cette douleur, nul ne sera comprendre ce bordel… Je n’arrive plus à…, je ne sais pas si… MERDE, comment pourrais je l’expliquer, mes idées ne sont pas claire et j’en ai maaaaaaaaaaaaaaaarre de ça, je n’arrive plus à faire n’importe quelle réflexion aussi infime soit elle, je ne fais même plus confiance à ma mémoire,… et tout le monde s’en moque y compris mes amis et ma famille, tout le monde me raconte les même conneries ‘Tu vas bien Amin, tu te crée des idées’, ‘Tu es encore jeune, tu as toute la vie devant toi’,’ou bien du genre ‘3ich 7yetek’ (akther wa7da nakrahaaaaaaaaaaaaaaa, ya rabi) et plein d’autres conneries qu’on raconte qui demeurent aussi stupides qu’inutiles.
Maintenant quand je pense à toutes ces années passées à me battre et à me mentir, je me dis que je suis un survivant et que je suis content de ce que j’avais réalisé (meeeeeerde, je continus à me mentir…, je sais que je ne vais pas arrêter, c’est pareil avec le tabac, bordel) mais enfin, je m’aperçoit que j’ai tous bousillé, mes rêves sont détruits (d’ailleurs, je ne sais pas ce que je fous encore sans au moins un but), mes parent disent que je serai dans la faculté mte3 el mtardin (je suis pas viré rahou, j’ai pas pu terminer le cycle ingénieur dans l’ancienne fac, je me contente de mon DUT, ti anyway…). Qu’est ce que je disais,… ah oui, medemni metdhaker, fama barcha 3bed rabi yahdihom me disent que l’état elli ena fih tawa est dut 3la 7keyet el ingéniorat,… mais non bordel… la7keya 3and.ha des sièèèèèèèècles.
Je pourrais avoir l’air d’un dépressif (peut être que je le suis) mais je ne pense pas que je suis un suicidaire, et c’est pour une raison simple,… j’ai un sentiment qui me dis que je m’approche de la fin d’une histoire pour en commencer une nouvelle, en d’autres termes, je m’approche d’une renaissance, une renaissance qui sera très violente (pfffffffffff, je me mens encore, euhhh !).